Espace critiques - Ma Mère qui chantait sur un phare - Gilles Granouillet, - 4 François Rancillac,

Ma Mère qui chantait sur un phare

On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de dans la tete du spectateur

dimanche 24 mars 2013

Le 4e mur est un grillage

Par Saad

Ma mère qui chantait sur un phare est un spectacle qui se démarque avant tout par son écriture, identifiableau théâtre-récit. Celle-ci se partage donc entre dialogues et adresses au public, utilisées pour commenter ou raconter ce qui s’est passé ou se passe au moment même de l’action. Si votre serviteur admet volontiers qu’il n’est pas très client de cette façon de « raconter », qui le porte généralement à confusion du fait de ces incessants alle...

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Les Trois Coups

lundi 07 janvier 2013

Et la mer(e) et l’amour ont l’amer pour partage

Par Laura Plas

François Rancillac crée le beau texte de Gilles Granouillet, « Ma mère qui chantait sur un phare », dans une mise en scène qui fait la part belle aux acteurs et à notre imagination. Un moment de poésie braconné sur les terres de l’enfance, entre tribulations picaresques et fantaisie, amour et amertume...

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Théâtre au Vent

samedi 05 janvier 2013

Se baigner dans la mer nue de notre enfance

Par Evelyne Trân

Y a-t-il un enfant qui n’ait pas été troublé, un jour, en désignant sa mère à ses copains. Dire aux autres « C’est ma mère », c’est reconnaitre une personne qui a tout affaire avec soi et c’est dévoiler aussi sa part d’inconnu, celle dont on ne parle pas parce qu’elle fait partie d’un autre monde, trop intime, pour qu’il puisse s’ébruiter en vaines paroles.

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