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Accueil de « Les Hommes Dégringolés »

: Notes

d'Olivier Werner

Le travail s'organise autour d'une "installation" de théâtre. Un plateau où s'anime des images mobiles, des images fixes, des images sonores... Sur ce plateau, trois acteurs. trois acteurs — Trois "langages scéniques".


Trois corps, trois pulsations, trois voix.


Ici, il n'y a pas de personnage à incarner, mais un texte à transmettre pour déclencher le foisonnement des langages et des images. Pour évoquer toutes ces figures que sont les 37 corps bouleversés qui jalonnent le poème.


Dans Les Hommes dégringolés, le poème a souvent valeur d'indication pour la scène et ne se présente pas comme un matériau à protéger. Au contraire, la narration très fragmentée du texte en appelle aux formes de représentation les plus diverses pour exister.


Souvent des formes très simples et immédiates. Des formes où le spectaculaire naît de la pauvreté des procédés. Où tout se concocte à vue, dans l'immédiateté du collage de tous ces corps bouleversés à faire voir ou entendre.


Cette précarité des formes de représentation doit rester le fil conducteur du spectacle. Elle garde la scène fragile et vivante.

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