lundi 22 juillet 2019
Une sombre fable post-apocalyptique
Par Pierre Lesquelen
Dans le crépuscule nostalgique de Claude Régy, on s’installe dans un noir profond domestiqué par quelques veilleuses de smartphone. Le maître des ténèbres (Thomas Bouvet) est tapi dans l’ombre, déclamant avec beaucoup de dextérité et une présence indéniable une sombre fable post-apocalyptique et pseudo-symboliste. Vague histoire d’enfants réunis pour leur première extase, blé de lune......