On l’a découvert au Théâtre du Soleil, dans les années 70, disciple d’Ariane Mnouchkine. Au cinéma, il fut, sous la direction de la metteuse en scène, un inoubliable Molière et prit rapidement son envol, en créant une manière unique d’être seul en scène et de raconter son histoire.

Peut-on revoir et aimer "Le Mahabharata" de Peter Brook, "Opéra équestre" de Bartabas, "La Trilogie de la villégiature" de Carlo Goldoni par Jean-Louis Benoît, "Richard III" de William Shakespeare par Thomas Ostermeier, 'Mlle Julie' de Strindberg par Frédéric Fisbach et "La Danse du diable" de Philippe Caubère ?

Nos critiques ont-il aimé "Bajazet", de Racine-Artaud, "Architecture", de P. Rambert, "Nous pour un moment", de A. Lygre, "Adieu Ferdinan ! Suite et fin", de P. Caubère, "Tout le monde ne peut pas être orphelin" de Chiens de Navarre, "Carnaval", de Goldoni, "Madame Zola", d'Annick Le Goff ?

Théâtre: "On parle d’autofiction en littérature. Il a inventé l’auto-théâtre"

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