Reportages sur la « crise grecque » :

(5’31)

La crise grecque une faillite européenne

(vidéo plus développée, 56’)

Images des manifestations :

(2013)

(Nouvelles violences sociales à Athènes - 2011)

(2014 ; anniversaire de la mort d’Alexandros)

1. Relevez les étapes de la crise grecque.

2. Rapprochez-les de l’intervention du Coryphée (p. 35). En quoi les mots utilisés constituent-ils un « charabia » confus ?
Pourquoi peut-on parler ici de satire, notamment du fait de la fin de cette réplique (« le malheur du peuple ») ?

3. Comment la violence des manifestants et celle de la police sont-elles évoquées dans la pièce (p. 20-30) ?
Qu’est-ce qui relève d’un engrenage tragique dans le déroulement des événements qui conduisent Alexandros à la mort ?

4. Etudiez la récurrence de l’idée de témoignage (p.18-19, 26,37, 39-40…).
En quoi les trois personnages de cette pièce sont-ils des « témoins » ?

Etude d’extrait :

p. 27-29 ( "J’entends les rumeurs…vers les adolescents")
Cet extrait peut-être analysé sous de multiples angles :

1- L’évocation du combat politique et de la violence qu’entraîne le pouvoir (registres de l’affrontement et de la violence, hyperboles et connotations péjoratives)`

2- L’engrenage tragique (répliques d’Œdipe, registre de la malédiction)
La perpétuation de la violence et de la révolte, de génération en génération : une malédiction humaine

3- Le « contrepoint » de l’espoir dans les mots d’Antigone ; en écho au mythe d’Ariane, aidant Thésée face au Minotaure, l’idée de « briser le fil » de la malédiction (réplique p. 28-29)

4- Le lyrisme (exclamations et interrogations, questions rhétoriques, hyperboles, énumérations…)