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Si la musique doit mourir

mise en scène Bernard Colin

: Le principe

Dans la démarche de Tuchenn, SI LA MUSIQUE DOIT MOURIR s’inscrit dans la continuité de SEMELLES DE VENT ou de LA RUE LICENCIEUSE. On y retrouve la mise en scène de textes forts de la littérature contemporaine, confrontés à l’espace public, avec la création d’un dispositif scénique spécifique, et un rapport de très grande proximité avec le public.


Pour SEMELLES DE VENT, les écrivains voyageurs sous une grande tente berbère, nous emportaient dans leurs errances.
Pour LA RUE LICENCIEUSE, la littérature érotique dans un entresort géant, était traitée sur le mode de l’attraction foraine.
SI LA MUSIQUE DOIT MOURIR porte sur la façon dont l’Histoire s’imbrique dans l’intimité.
Le dispositif scénique représente une friche artisanale, lieu abandonné par le travail, transformée en lieu de divertissement culturel.
Le point commun aux trois, c'est le désir de plonger le public dans une ambiance, de l’installer à l’intérieur de notre univers.


Notre titre provient d’un poème de Tahar Bekri, l’un des grands poètes tunisiens vivants. Son texte s’adresse aux religieux violents. Il y évoque l’interdiction de la musique dans certains régimes islamistes, et entre en résonance avec l’interdiction des chansons de Pete Seeger, sur les ondes américaines. Ces colosses seraient-ils fragiles au point de craindre les tambourins et les chansonnettes ? Bon signe !
Le prophète n’a-t-il pas dit vous vous croyez de feu, vous êtes d’argile ?

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