vendredi 05 décembre 2014
Un Gogol pas si fou...
Par Bernard Thomasson
Le monologue est porté par un jeune acteur, Antoine Robinet, dont le regard et le phrasé hypnotisent le spectateur du début à la fin. Sans fausse note dans le jeu, il pousse le spectateur à croire que ce petit paperassier russe est bel et bien devenu souverain espagnol. Il y a là du talent pour l’avenir....
lundi 01 décembre 2014
Comment pourrait-il lui plaire ? ...
Par Simone Alexandre
Le comédien, en plus d'une présence indéniable, possède un atout rarissime pour sa génération : sa diction est impeccable (le fait mérite d'être souligné tant cela est devenu rare !)...
jeudi 27 novembre 2014
Un jeu d'acteur juste et dénué de pathos.
Par Élishéva Zonabend
Face aux spectateurs qui pourraient le toucher en raison de l’exigüité du lieu, il joue d’une manière frontale et son visage ravagé, son regard vide et fixe, ses propos délirants, traduisent les différents degrés de sa démence : paranoïa, schizophrénie, mégalomanie, jusqu’à la bouleversante prière qu’il adresse à sa mère à la fin de ce monologue pathétique, recroquevillé sur le sol : « Maman ! Sauve ton pauvre fils ! Laisse tomber une larme... »....
mardi 25 novembre 2014
Intense.
Par Camille Arman
Il est vraiment très fort, Antoine, il nous entraîne partout avec lui, ne nous lâche pas une seconde de l’œil et du cœur. Revisite un texte qui déborde nos frontières intérieures....
dimanche 16 novembre 2014
Un monologue de haut vol à ne pas rater
Par Nicolas Arnstam
Dans cette version du texte de Nicolaï Gogol, "Le journal d'un fou" présenté dans sa traduction d'origine (par Louis Viardot en 1845), il livre une prestation une nouvelle fois fabuleuse, tenue d'un bout à l'autre, qui est à cent lieues des numéros d'acteur qu'on peut voir la plupart du temps en pareil cas....
mercredi 09 juillet 2014
Un fonctionnaire qui sait parler le chien et qui n'en manque pas !
Par Christian Fuentès
La mise en scène intelligente de Bruno Dairou et le jeu sensible d'Antoine Robinet nous transportent aisément dans un monde a priori pas évident....
samedi 05 juillet 2014
Redécouverte d'un chef-d'œuvre de la littérature russe
Par Coline Beyret
De la chaleur lourde de l'après-mid, rue Amphoux, on entre dans un univers calme où Antoine Robinet va bientôt exploser. Avec une diction irréprochable, il nous entraîne dans le rythme effréné des journées de Poprichtchine.
