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Accueil de « Le Mardi où Morty est mort »

Le Mardi où Morty est mort

mise en scène François Rancillac

On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de Théâtrorama

mardi 08 avril 2014

Lindbergh fait preuve d’un grand sens de la dramaturgie

Par Dany Toubiana

On dit en Suède qu'il est le jeune auteur à suivre actuellement. Effectivement, à peine âgé d'une trentaine d'années, Rasmus Lindbergh fait déjà preuve d'un grand sens de la dramaturgie et du dialogue. Faisant écho au délire de l'écriture, François Rancillac fait une mise en scène tout aussi déjantée de "Le mardi où Morty est mort", première pièce de Rasmus Lindberg magistralement traduite en français par Marianne Segol-Samoy et Karin Serres. Soi...

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Image de la critique de Journal La Terrasse

jeudi 03 avril 2014

Une écriture d’une grande originalité

Par Manuel Piolat Soleymat

Pour la première fois, une pièce du jeune auteur suédois Rasmus Lindberg est mise en scène en France. Une création drôle, vive et féroce, présentée au Théâtre de l’Aquarium par son directeur, François Rancillac. [...]...

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Image de la critique de Le Souffleur

mercredi 02 avril 2014

Une très bonne occasion de découvrir l'écriture de Rasmus Lindberg

Par Tiana Krivokapic

Originairement mis en scène par François Rancillac au Fracas, à Montluçon, le spectacle Le Mardi où Morty est mort est présenté en cette fin de mois de mars au Théâtre de l’Aquarium dans un bois parisien. Lorsqu’on est sensible au texte théâtral contemporain et lorsqu’un texte théâtral contemporain est en plus étranger et de surcroit une comédie, il de fortes chances d’attiser notre curiosité. ......

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Image de la critique de Théâtrorama

mardi 01 avril 2014

Une mise en scène déjantée et inventive

Par Julia Blanchi

Aaaarrgh !!! Morty vient de se faire la malle !! Rien ne va plus. Morty, c’est le chien d’Herbert, un jeune médecin dépressif, incapable de décider de sa vie et dont la course-poursuite qu’il va mener pour retrouver son chien, va chambouler son petit train-train. Rasmus Lindberg, jeune auteur suédois en pleine ascension, a écrit là une pièce diabolique ! Etirant la durée de la fugue du toutou à la quasi-totalité de la pièce, ......

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Image de la critique de L'Humanité

lundi 31 mars 2014

Un chien, Dante et un piano

Par Jean-Pierre Léonardini

François Rancillac invite à la découverte de Rasmus Lindberg, jeune auteur suédois inspiré par 
la bande dessinée, dont il met en scène la pièce...

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Image de la critique de A l'intérieur de la maison en verre

dimanche 30 mars 2014

"Ça c’est le matin…

Par Lamaisonenverre

"Ça c’est le matin… Ça c’est le soir… Ça c’est le matin… Ça c’est le soir… Ça c’est trois ans après… Ça c’est notre voyage à Copenhague… Ça c’est le matin… Ça c’est le soir…" La pièce du suédois Rasmus Lindberg, traduite et jouée pour la première fois en France, commence ainsi. Toute la vie de deux personnages, Edith et Johan, est résumée en quelques mots....

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Image de la critique de Un Fauteuil Pour l'Orchestre

samedi 29 mars 2014

Une vie de chien !

Par Denis Sanglard

Sale Mardi pour Morty ! Papy vient de casser sa pipe et sa veuve, Edith, se découvre un cancer foudroyant, sa petite-fille Amanda s’en fout qui vient de tomber amoureuse d’Herbert, larguant illico son fiancé Sonny dont le père pasteur est en pleine crise existentielle, prêt à se défroquer, et qui conséquemment se contrefout de son fils qui décide de régler son compte à Herbert lequel n’est tombé sur Amanda que par le ......

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Image de la critique de Théâtre au vent

vendredi 28 mars 2014

Une vie qui se déroulerait sur une journée

Par Evelyne Trân

Une vie qui se déroulerait sur une journée, sur une semaine, sur une année, sur dix, puis vingt, puis trente années, une véritable bobine n’est-ce pas. Combien de fois ai-je retourné ma cuillère dans la tasse, regardé le ciel en apostrophant la lune, tourné le bouton de la radio,

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Image de la critique de Théâtre du blog

jeudi 27 mars 2014

Le dit Morty appartient à l’espèce canine

Par Véronique Hotte

Le Mardi où Morty est mort, de Rasmus Lindberg, mise en scène de François Rancillac, traduction de Marianne Ségol-Samoy et Karin Serres. La pièce de l’écrivain suédois est écrite pour deux hommes, deux femmes et un chien, une distribution qui se veut désinvolte et qui suscite la curiosité du spectateur amusé. Le Mardi où Morty est mort est un titre inédit : le dit Morty appartient à l’espèce canine mais l’événement fatal qui le concerne, ce fam...

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