mardi 20 janvier 2015
Un Malade imaginaire classique et irrévérencieux
Par Marina Da Silva
Pour Michel Didym, le Malade imaginaire (1), c’est tout Molière comme dans Hamlet, il y a tout Shakespeare. L’enjeu est donc de taille pour le metteur en scène qui se sait attendu dans son approche d’un monument du répertoire, alors qu’il est associé depuis vingt ans à la découverte des écritures contemporaines....