lundi 23 avril 2018
Retour à l’héritage hispanique
Par Gilles Costaz
Belle mais colossale, lourde, massive pièce que Le Cid. Qu'en faire par rapport aux mises en scène de référence, celle de Jean Vilar et Gérard Philipe...
WebThéâtre
lundi 23 avril 2018
Retour à l’héritage hispanique
Par Gilles Costaz
Belle mais colossale, lourde, massive pièce que Le Cid. Qu'en faire par rapport aux mises en scène de référence, celle de Jean Vilar et Gérard Philipe...
Sceneweb
mardi 10 avril 2018
Un Cid tiraillé entre tradition et modernité
Par Vincent Bouquet
Au Théâtre des Quartiers d'Ivry, Yves Beaunesne donne un sérieux coup de jeune à la tragi-comédie de Corneille et montre l'atemporalité de son célèbre dilemme....
critiquetheatreclau.com
samedi 07 avril 2018
Le Cid, tragi-comédie
Par arrazatclau
Première version du Cid jouée en 1637, critiquée par la société « des biens pensants de l’époque ».Corneille remaniera sa pièce qui d’une tragi- comédie deviendra une tragédie plus conventionnelle et moraliste. en 1682. Sur scène apparaissent quelques instants tous les personnages du Cid immobiles, vêtus de somptueux habits offrant à nos yeux un magnifique tableau....
Critiques Théâtres Paris
samedi 07 avril 2018
Le Cid toujours intemporel...
Par Philippe Chavernac
Comment être de nouveau agréablement surpris par un classique du théâtre français de nos jours ? La chose n’est pas facile et trop souvent on s’ennuie poliment... Ce n’est pas du tout le cas en ce moment avec Le Cid......
Cultutruc
lundi 19 février 2018
« Va, je ne te hais point »
Par Pauline Moisan
Rodrigue et Chimène sont jeunes, amoureux, mais dans une situation délicate. Suite à un conflit, Rodrigue s’en va assassiner le père de sa bien-aimée. Pas la meilleure technique de drague, si vous voulez mon avis. Pour à son tour prendre sa revanche, Chimène demande la mise à mort de Rodrigue et promet sa main à celui qui saura lui rapporter sa tête. L’amour saura-t-il être plus fort? Ou la stupidité, peut-être?...
Bigorre.org
mardi 28 mars 2017
Un Cid flamboyant et impertinent
Par Stephane Boularand
Le rideau s’ouvre, on voit les comédiens figés, puis le noir. Une ouverture en forme de tableau flamand du 17eme siècle qui plante l’esthétique très graphique de la proposition. Puis la scène s’anime en nous plongeant dans le tableau de la dispute des pères de Chimène et de Rodrigue qui va nouer le conflit en l’honneur et l’amour....
Les Trois coups
vendredi 03 mars 2017
Corneille enfiévré par Beaunesne
Par Trina Mounier
Il faut remercier Yves Beaunesne de nous enchanter avec une pièce si classique qu’on la pensait attendue, qu’on la croyait réservée aux collégiens, qu’on l’avait remisée dans un coin de notre mémoire. Il en restaure au contraire non seulement l’éclat, mais encore la fougue et la fraîcheur.
hottello
jeudi 12 janvier 2017
L’amour et la mort sont intimement liées
Par Véronique Hotte
Quand, pour se venger de l’affront du Comte, humilié de ne pas avoir été choisi par le Roi de Castille pour le poste de gouverneur du prince, Don Diègue (Jean-Claude Drouot magistral) donne symboliquement à Rodrigue son épée glorieuse – scène d’adoubement –, le premier reçoit sur ses épaules la charge pesante d’un destin collectif – un héritage familial et traditionnel d’honneur et de renommée d’une lignée à préserver dans le sang....
L'Humanité
lundi 02 janvier 2017
Un Cid qui ne manque ni de cœur ni d’audace
Par Marie-José Sirach
Yves Beaunesnes met en scène la pièce de Corneille. C’est féroce, enchanteur et enchanté, porté par la partition musicale de Camille Rocailleux....
lesechos.fr
lundi 21 novembre 2016
Yves Beaunesne ressuscite « Le Cid » en Technicolor
Par Philippe Chevilley
Le spectacle d'Yves Beaunesne s'ouvre sur une image brève, presque subliminale : les personnages du « Cid » en habits précieux, tous en scène,......