: Espace scénique
Les trois spectacles de cette Trilogie de
l’enfermement ont en commun le même principe
scénographique : les personnages évoluent
dans une pièce fermée, basse de plafond, avec
des néons intégrés pour seul éclairage. Les dimensions
de cet espace pouvant changer d’un
spectacle à l’autre.
Ce n’est pas une scénographie réaliste
mais une boîte théâtrale modulable posée au
milieu de la cage de scène. Côté salle, un cadre
semble avoir été découpé dans le quatrième mur
et place le public dans une position de voyeur.
Pour La pensée, cette pièce fait cinq
mètres de large sur six mètres de profondeur.
L’ensemble du sol est constitué de caillebotis
métalliques dans lequel un simple banc d’acier
est encastré ; le mur du fond de la pièce donnant
sur une porte rouge sans poignée.
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