: Décor, costumes, distribution
par Claude Buchvald
Pour le décor, nous voulons qu’il soit léger, et que tout se passe en un même lieu, que
l’action se déroule à l’intérieur ou à l’extérieur. La lumière et le son procèderont amplement
à la magie de la métamorphose : dedans ; dehors ; dehors / dedans.
Et nous nous inspirons des paroles de Jacques Copeau en ce qui concerne l’espace : « Plus la
scène est nue plus l’action y peut faire naître de prestiges. (…)C’est sur la contrainte
matérielle que la liberté d’esprit prend son point d’appui. Sur cette scène aride, l’acteur est
chargé de tout réaliser, de tout tirer de lui‐même. Le problème du comédien, du jeu, du
mouvement intime à l’oeuvre, de l’interprétation pure est ainsi posé dans toute son
ampleur. Un tréteau nu et de vrais comédiens. »
Les costumes auront traversé les siècles, et hérités ça et là de notes plus contemporaines.
Car il ne s’agit pas ici d’illustrer les personnages du 17e ou de la Commedia del Arte, mais de
leur rendre vie à travers le rêve, et la fantaisie au moment où nous parlons….Le ballet et le
divertissement attiseront la folie de la vie qui nous tient au collet en toute circonstance.
Pour la distribution (en cours) il nous faudra une équipe d’acteurs / chanteurs, musiciens : 9
pour une vingtaine de rôles, dont certains sont à l’origine de la compagnie depuis Vous qui
habitez le temps et L’Opérette imaginaire de Valère Novarina, et de jeunes nouveaux venus.
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