: Une histoire d’un romantisme sulfureux
Londres, 1946. Nous sommes dans le bureau de Maurice Bendrix, écrivain. Pas seulement
dans son bureau, mais dans sa tête, dans sa mémoire. Qu’écrit-il ? Sa propre histoire,
justement, seule alternative pour liquider une haine qui l’étouffe : la haine pour une femme, sa
maîtresse Sarah.
Maurice se souvient : 1944, c’était la guerre, les bombardements, le Blitz. Il cherchait à entrer
en contact avec un haut fonctionnaire suffisamment ridicule pour nourrir son nouveau roman.
Il rencontre donc le brave Henry, chargé des pensions des veuves de guerre. Idéal pour la
caricature. Mais il va aussi faire connaissance avec sa femme, Sarah, dont il tombe
éperdument amoureux. Sarah, qui apparaît à Maurice comme une femme facile, se donne
furieusement à lui. Durant l’un de leurs multiples rendez-vous amoureux chez l’écrivain, ils
subissent un bombardement terrifiant. Maurice veut descendre dans la cave. Sarah refuse de
peur de rencontrer la logeuse. Il descend, seul, et est balayé par le souffle d’une explosion. Il
s’évanouit et lorsqu’il se réveille, il retrouve Sarah, perdue, seule, au milieu de son
appartement. Elle semble surprise et gênée de le voir vivant. Elle doit partir, dit-elle.
Il ne la reverra pas pendant 2 ans. Que s’est-il passé ? A t-elle un nouvel amant ? Bendrix
engage un détective qui découvrira le journal intime de Sarah…
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