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Accueil de « Assassines »

: Forme du spectacle

Le spectacle commence par une parole de criminelle dans le noir puis la scène s’éclaire sur un quai.


La Gare de Gilles Granouillet : un homme aborde une femme inconnue sur un quai de gare glauque, le piège se referme peu à peu.


Une image de cellule apparaît en fond, on entend alors les paroles d’une prisonnière.
La scène se rallume sur un intérieur coloré. Un château.
Sous la lumière d’un lustre, apparaît une créature étrange.


La Clé de l’ascenseur d’Agota Kristof : cette créature à la voix déformée en fauteuil roulant, raconte un conte, puis disparaît. Une femme pétillante apparaît, nous fait visiter le château, elle raconte une horrible histoire d’amour. Au fil de cette histoire, elle va se transformer peu à peu en la créature en fauteuil roulant du début. Quand son mari tortionnaire rentre, elle tue à coup de bistouri.


Serial Killer de Carole Fréchette : une femme assassine ses amours et en collectionne les dépouilles, laissant son amoureux abasourdi devant cette violence incompréhensible et cruelle.


« Oui, je les ai tués, parce que mes maris n’étaient pas à la hauteur, ils étaient minables… »
« Il est difficile de dater le moment où ma vie est devenue un calvaire… J’ai pensé fuir… Mais pour aller où ? Avec quels moyens ? Il m’aurait retrouvée. Si ce n’est pas moi qui l’avais (tué), ce serait quelqu’un d’autre… »
Extraits de paroles de meurtrières lors de leur procès

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