Un dispositif croissant.

Tout au long du déroulement des histoires, l’atmosphère deviendra de plus en plus irréelle, baroque.

D’éléments baroques…

La scénographie collera à cette évolution, elle sera au début très dépouillée, aux couleurs grises, noires, blanches, pour peu à peu s’étoffer d’éléments baroques aux couleurs chaudes, dans des dégradés de rouge, d’orange, de violine.

Et de mise en lumière de deux univers qui s’affrontent…

Elle mettra en lumière deux espaces, deux mondes, deux univers hermétiques l’un à l’autre, celui de l’homme et celui de la femme, univers qui ne se mélangent jamais, qui se rencontrent brièvement pour mieux s’affronter, se déchirer et finalement se détruire.