L'Insensé
mercredi 18 décembre 2019
Par Jérémie Majorel
S’il y a une chose qui distingue L’Animal imaginaire des pièces précédentes, à moins de remonter au Babil des classes dangereuses (1978), c’est sa tentative d’exorciser par la satire les hantises politiques de notre époque. Tout y passe, dès qu’est soupçonné un formatage du langage et de la pensée...