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Dernières critiques
Snobinart
vendredi 16 décembre 2022
Marion Siéfert élargit le cadre de nos écrans dans "_jeanne_dark_"
Par Peter Avondo
Comment porter sur scène une société ultra connectée, quand cette même technologie joue aussi un rôle dans le désintérêt des jeunes générations pour le spectacle vivant ? La metteuse en scène Marion Siéfert semble avoir trouvé une solution, à laquelle elle donne brillamment vie dans la pièce multidimensionnelle _jeanne_dark_....
L'Est Eclair de Troyes
jeudi 03 février 2022
Je suis la bête, spectacle d'une beauté radicale
Par Florent Goutiau
"Julie Delille est de cette nouvelle génération des gens de théâtre qui ranime la magie de l'exercice des planches...
Inferno
mardi 02 novembre 2021
Une double expérience inédite et passionnante
Par Martine Fehlbaum
Vous ne connaissez pas encore Jeanne? Elle est française, elle a seize ans, elle vit à Orléans avec sa famille bourgeoise (catholique) et elle ressemble à beaucoup d’adolescentes près de chez vous, si ce n’est à vous-même lors de cette période de fragilité et de révolte que nous avons tou.te.s vécue.
Sceneweb
lundi 21 juin 2021
Au Vieux-Colombier, les Barbares de Coetzee à front renversé
Par Vincent Bouquet
Malgré le talent des comédiens-français et la qualité de leur adaptation, Camille Bernon et Simon Bourgade livrent une version basse tension de la troublante fable politique de l’auteur sud-africain, En attendant les barbares. Les barbares de J. M. Coetzee sont des caméléons. Sans nom, sans filiation et sans ancrage territorial, ils peuvent s’adapter à toutes […]...
Club de Mediapart
vendredi 09 octobre 2020
La « _ jeanne_dark_ » d’Orléans
Par Jean-Pierre Thibaudat
Tapez adolescence sur Internet et tôt ou tard vous tomberez sur cette citation d’une certaine Myriam Alison : « L’adolescence commence le jour où, lorsqu’il suit un western à la télévision, un enfant préfère voir le cowboy embrasser l’héroïne plutôt que le cheval. » La citation est plaisante mais datée....
Sceneweb
lundi 05 octobre 2020
Le lumineux _jeanne_ dark_ de Marion Siefert
Par Eric Demey
Dans le cadre du Festival d’Automne au Théâtre de la Commune à Aubervilliers, Marion Siefert présente sa dernière création, _jeanne_ dark_, performance en solo interprétée par Helena de Laurens. Un live instagram d’une adolescente orléanaise qui sera, pour bien des raisons, un spectacle essentiel de l’année. Décidément, Marion Siefert donne un sacré coup de jeune […]...
Libération.fr
lundi 05 octobre 2020
«Jeanne Dark», une ado sur le bûcher numérique
Par Anne Diatkine
Magnifiquement porté par Helena de Laurens, le seul-en-scène de Marion Siéfert est diffusé en live sur Instagram, les commentaires s’affichant sur la scène....
New York Times
jeudi 06 juin 2019
A French Festival Where the Actor Is King
Par Laura Cappelle
"The young Julie Delille, another solo performer and one of just a handful of female directors in the lineup, delivered a work of remarkable visual precision with her adaptation of “Je suis la bête” (…) Much of the story could easily look silly, but Ms. Delille has created spare tableaux that suggest the girl’s evolving physicality, from a prowling beast to a rescued orphan. Her instincts promise much for the future."...
L'Art-vues
mardi 04 juin 2019
Un récit virtuose dans une ambiance et un décor d’une extrême élégance
Par NC
En ce premier weekend de printemps des comédiens nous avons assisté à l’adaptation d’un texte d’Anne Sibran, mis en scène et interprété par Julie Delille (...) Grâce à une mise en scène époustouflante et épurée, Julie Delille nous attrape dans le silence. Elle nous inquiète, nous perturbe et nous émeut. Un récit virtuose dans une ambiance et un décor d’une extrême élégance et de d’une grande pureté. Ça commence fort au printemps !...
L'Oeil d'Olivier
lundi 03 juin 2019
L’appel sauvage et viscéral de la forêt
Par Olivier Frégaville-Gratian d’Amore
Au printemps des comédiens, Julie Delille reprend avec une sauvagerie délicate, une douceur enragée, Je suis la bête, magnifique et horrifique texte d’Anne Sibran. Enfance remisée au placard de l’oubli, de l’abandon, c’est dans le bois voisin que la jeune fille, la bête en devenir, se construit loin des hommes. Ambiance sombre, terriblement prenante !...