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Dernières critiques
Télérama.fr
mardi 19 novembre 2019
Fuir l'Afghanistan, survivre, travailler, marcher
Par Françoise Sabatier-Morel
Avoir 10 ans et se réveiller un matin, seul, dans un pays étranger… Fuir l'Afghanistan, survivre, travailler, marcher avec d'autres enfants qui émigrent également. Cette histoire, Enaiat l'a vécue,......
Club de Mediapart
mercredi 17 juillet 2019
Tout spectacle est une odyssée, la preuve par trois
Par Jean-Pierre Thibaudat
Dans un jardin d’Avignon, on s’enfonce, chaque jour un peu plus dans les profondeurs de « L’Odyssée » d’Homère. Dans « Crocodiles » un acteur transfigure l’odyssée d’un Afghan. Dans « Un homme », Gaël Leveugle s’approprie les souterrains d’« Un homme », une nouvelle de Charles Bukowski....
Un Fauteuil pour l'Orchestre
lundi 11 février 2019
Le théâtre ainsi dépouillé de tout artifice redevient l’agora,
Par Denis Sanglard
Dionysos, fils de Sémélé la foudroyée et de Zeus, dieu de l’altérité se présente à Thèbes, ville qui lui refuse son culte et ses mystères. Premier acte de sa vengeance, les femmes devenues possédées et ménades se livrent désormais au culte dionysiaque. Parmi elles, Agavé, la mère de Penthée, roi de Thèbes et petit-fils de Cadmos, qui se refuse à Dionysos au nom de la raison sa divinité. Cadmos, père de Sémélé, et Tirésias le devin qui pressent...
Club de Mediapart - Les dits du théâtre
samedi 09 février 2019
Bernard Sobel n’a pas sorti les dieux de la machine théâtrale, au T2G
Par Dashiell Donello
En entrant dans la salle, nous voyons un film qui met en action des constructeurs de décors. Cela nous amène, peu à peu, dans l’intime du théâtre avant le théâtre, et nous nous imaginons que les colonnes en trompe l’oeil, vont restituer un temple de la période classique, probablement le Parthénon. Hélas ! Notre imagination était trop exigeante....
Théâtre au Vent
dimanche 20 mai 2018
Par Evelyne Trân
Il revient de très loin et il n’en revient pas lui-même le jeune Afghan Enaiat qui raconte son parcours de migrant de plusieurs années qui l’ont mené du Pakistan à l’Iran, la Turquie, la Grèce jusqu’en Italie.
Crayonné au théâtre.
vendredi 19 janvier 2018
Par Christian Drapron
Avec Euripide se clôt, dit-on, le cycle des grands tragiques grecs. C’est singulièrement avec sa dernière œuvre, « les Bacchantes », que le poète fait paraître sur scène, pour la première fois et pour ainsi dire « en personne », la figure de celui dont on associe le nom et le culte aux cérémonies qui ont donné naissance à l’art tragique : Dionysos.
Club de Mediapart
jeudi 18 janvier 2018
Bernard Sobel : dernier masque avant la sortie
Par Jean-Pierre Thibaudat
Bernard Sobel met en scène « Les Bacchantes » d’Euripide dans une nouvelle traduction de sa collaboratrice de toujours, Michèle Raoul-Davis. Plus de soixante ans de théâtre au compteur pour déchiffrer le monde. Comme le vieil Euripide, Sobel se pose des questions et aide au questionnement. Encore une fois, Dionysos, venu de loin, arpente la scène....
lesechos.fr
vendredi 12 janvier 2018
La belle bacchanale de Bernard Sobel
Par Philippe Chevilley
Sur le beau mur de pierres du théâtre de l'Epée de bois, défilent les images d'un décor de ville antique en construction/destruction. Bernard......
Sceneweb
vendredi 12 janvier 2018
Bernard Sobel dompte Les Bacchantes
Par Vincent Bouquet
"Pour clore l'aventure engagée il y a plus de soixante", dixit sa fidèle comparse Michèle Raoul-Davis, Bernard Sobel s'empare des Bacchantes au Théâtre de l'Epée de Bois. De la tragédie grecque on ne peut plus classique d'Euripide, il parvient à dégager une certaine modernité....
Profession Spectacle
vendredi 10 novembre 2017
L’enfant migrant face aux crocodiles : un conte de tous les possibles
Par Pierre Monastier
Comme Le but de Roberto Carlos de Michel Simonot, Crocodiles présente le versant bienveillant et innocent de l’humanité en migration : Enaiatollah Akbari est un garçon gentil, vulnérable et honnête, un tantinet bagarreur lorsqu’on le provoque, mais sans méchanceté aucune, ni vice honteux. Un migrant hygiénique sur papier glacé. On ne sent chez lui nulle perversité, mais une énergie formidable, retranscrite avec beaucoup de talent par Rémi Fortin...