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Frédérique Constant

France

Dernières critiques

Image de Lorenzaccio

Mlascene

dimanche 08 octobre 2017

La "vilaine cuisine" du monde

Par Marie-Laure Barbaud

Au Théâtre de l’Aquarium, Catherine Marnas monte Lorenzaccio, le drame foisonnant de Musset et renoue avec l’idéal romantique qu’Hugo réclamait dans la préface de Cromwell, une alliance constante entre bouffonnerie et tragique. La scène est à Florence, celle des Médicis, mais elle s’ouvre au son d’une guitare rock sur une orgie tapageuse d’Alexandre où Lorenzo, mignon du tyran, coiffé d’une perruque peroxydée...

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Image de Lorenzaccio

Mediapart-Les dits du théâtre

vendredi 29 septembre 2017

Catherine Marnas nous offre un Lorenzaccio à pile ou face

Par Dashiell Donello

Cela commence dans le plein feu. Déambulant sur la scène, toute l'ambivalence d'un homme se montre. Son corps, une perruque blonde à la main, va et vient sur l'incertain chemin de sa destination finale. Dans un geste théâtral, l'homme se coiffe du postiche. Cet homme c'est Lorenzo....

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Le Clou dans la planche

mardi 12 avril 2016

Thomas, tu cabotines

Par Manon Ona

Dans ce format supposé plus dense, la réplétion formelle passe vite pour une tentative de séduction tape-à-l'œil, celle d'un théâtre aux airs de blockbuster, qui redoute d'ennuyer....

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Les Trois Coups

vendredi 22 janvier 2016

Richard on the rock

Par Léna Martinelli

Thomas Jolly, la nouvelle coqueluche du théâtre, n’a pas fini de faire parler de lui ! Après son entrée fracassante, par la grande porte, avec « Henri VI », le voilà programmé à l’Odéon où il met en scène un « Richard III » dont il incarne lui-même le rôle-titre. Bluffant !...

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L'Express - Blog

vendredi 22 janvier 2016

Un tigre de papier

Par Laurence Liban

Richard III... Sa description seule ferait mourir de peur n'importe quel Quasimodo. Tordu, bossu, desséché, dératé, dentu à la naissance, bancal, pas voulu, pas aimé, pas aimable, pas fini. Expulsé avant terme comme une huître avariée et pire que ça....

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Au poulallier

lundi 18 janvier 2016

Richard III en post-ado morbide

Par David Larre

Épilogue de son marathon shakespearien autour de la Guerre des Roses, Richard III offre à Thomas Jolly l’occasion de prolonger une geste artistique un rien mégalo, se distribuant le rôle-titre, et orchestrant dans un ballet glam-goth (qui doit autant à Star Wars qu’à Tim Burton ou à David Bowie) les règlements de compte fourbes et sanglants qui vont aboutir à la mise à mort du « lévrier de l’enfer ». La furia gothique ne manque pas de panache,...

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LeJDD.fr

dimanche 17 janvier 2016

Shakespeare, opéra rock

Par Patrice Trapier

Thomas Jolly est un jeune metteur en scène qui bouscule le théâtre par son sens du spectacle et ses références multiples (cinéma, séries télé, BD, rock…). Cette recherche de modernité n'exclut pas le sens du texte. Jolly a consacré cinq ans à monter la tétralogie du jeune William Shakespeare, Henri VI puis Richard III. Sa première partie de dix-huit heures...

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PublikArt

samedi 16 janvier 2016

Richard III, la version gothique de Thomas Jolly

Par Amaury Jacquet

Thomas Jolly revient avec Richard III pour l’inscrire dans un dernier sursaut de noire politique où l’esthétique gothique accompagne la marche du mal....

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L'express

samedi 16 janvier 2016

Richard III en trois mots

Par Igor Hansen-Love

C'est l'événement de cette rentrée théâtrale: la pièce de Shakespeare, mise en scène par Thomas Jolly. Efficace mais décevant....

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Toute la Culture

vendredi 15 janvier 2016

L’impossible Richard III de Thomas Jolly

Par Christophe Candoni

C’est donc reparti pour un théâtre hyper vieillot et velléitaire où la nuance et la pensée ne sont malheureusement pas de mise. Tous les défauts, les clichés, les faiblesses, les outrances, observés dans l’interminable saga présentée notamment au Festival d’Avignon puis à l’Odéon réapparaissent dans ce dernier opus, mais en plus ostentatoires, comme maximalisés par le confort du succès et le contentement de soi....

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