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Dernières critiques
Libre Théâtre
samedi 13 janvier 2018
Cabaret dans le ghetto pour ne jamais oublier
Par Ruth Martinez
C'est un superbe objet théâtral. Stefano Fogher, comédien musicien, et Gerry Quévreux, comédien danseur, incarnent les diverses facettes de Wladyslaw Szlengel et transmettent avec talent le message du poète : l’élégance, la poésie et l’intelligence sont des actes de résistance et triompheront de la barbarie. Un superbe spectacle, nécessaire, pour ne jamais oublier....
Journal La Terrasse.fr
jeudi 11 janvier 2018
Par Agnès Santi
"Tout fait sens ici ; l’histoire disparue se fraie un chemin jusqu’à nous contre l’oubli. Contre la maltraitance de nos frères humains. La construction de la pièce constitue un pont entre les morts et les vivants, entre un passé anéanti et le présent qu’on espère nourri des leçons du souvenir. Ni restitution, ni incarnation, ni explication, le travail théâtral dessine un palimpseste sensible où demeurent lisibles jusqu’à aujourd’hui...
Figaro
lundi 08 janvier 2018
La musique au théâtre : toute une histoire
Par Armelle Heliot
LA CHRONIQUE D'ARMELLE HÉLIOT - La musique au théâtre : toute une histoire. Une création, celle des poèmes du Polonais Wladyslaw Szlengel. Célébration simple, bouleversante, d'un moment terrible de l'histoire de l'Europe. Musique, danse, rires, joies,rien de morbide dans ce spectacle. Un cabaret peut parler gravement de l'histoire, tout en nous divertissant....
Journal La Terrasse.fr
mercredi 20 décembre 2017
Par Agnès Santi
« Wladyslaw Szlengel brandit le poème contre la stratégie de l’abattoir. » Après Notre Classe, qui éclairait l’histoire d’un village polonais pendant la Seconde Guerre mondiale, Justine Wojtyniak crée le second volet du diptyque intitulé Blessures du silence, autour de la figure du poète et cabarettiste du ghetto de Varsovie Wladyslaw Szlengel (1911-1943). Un théâtre pour aujourd’hui, luttant contre l’oubli....
www.lamontagne.fr
mercredi 20 décembre 2017
Cabaret dans le ghetto au P'tit Théâtre Bastringue
Par Florine Laz
la metteuse en scène Justine Wojtyniak, polonaise d'origine, en France depuis quinze ans, a axé la représentation sur la réflexion attenant à la résistance et à l'acte de résistance par l'écriture et le théâtre....
Le Progrès
vendredi 11 mars 2016
Quelque chose de formidable à l’Ensatt ce vendredi
Par A.M.
Le prince Philippe distrait son ennui en prenant pour fiancée une «muette, molle, moche, apathique». Mais la farce va tourner au drame avec la “molichonne” Yvonne, princesse de Bourgogne. Installé sur la scène plongée dans un clair-obscur, le public entoure les jeunes acteurs de Quelque chose pourrit dans mon royaume de Julie Bérès, dans une mise en scène maligne et très physique. On a hâte de revoir Ariane Berendt, Léo Grange et Tristan Cottin....
lundi 10 décembre 2012
Un monologue obsessionnel d’un narrateur anonyme
Par Floriane Toussaint-Babeau
Seul en scène, Armel Veilhan incarne sur la petite scène du Théâtre de la Bastille le narrateur du Naufragé. Ce roman de Thomas Bernhard relate la rencontre destructrice du célèbre Glenn Gould par deux pianistes prometteurs, rompus dans leurs ambitions face à son talent incomparable. Joël Jouanneau signe l’adaptation et la mise en scène de ce spectacle à la scénographie simple, dont la force réside essentiellement dans le texte et...
samedi 08 décembre 2012
« Le Naufragé » de Bernhard refait surface : accro ou pas, accrochez-vous !
Par Jean-Pierre Thibaudat
Quand on sort de la petite salle du théâtre de la Bastille, l’envie est forte de se plonger ou de se replonger dans l’entièreté du récit de Thomas Bernhard « Le naufragé ».Thomas Bernhard est une drogue en vente libreLe spectacle auquel on vient d’assister nous a donné à entendre, à respirer et à snifer un certain nombre de lignes bien choisies. Thomas Bernhard est une drogue dure, et ce spectacle, conçu et mis en scène par Joël Jouanneau et inte...
jeudi 15 novembre 2012
Armel Veilhan, la virtuosité d'un musicien
Par Armelle Heliot
Joël Jouanneau a adapté le grand texte de Thomas Bernhard, Le Naufragé et dirige le comédien d'une manière très audacieuse. La cocasserie le dispute ici au sourd désenchantement du narrateur…...
lundi 30 juillet 2012
Par Nathie
Les Bonnes...deux personnages, deux personnes, deux personnalités... Mais aussi deux histoires