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Dernières critiques
Sceneweb
jeudi 07 décembre 2023
Amsterdam, une passionnante histoire recomposée
Par Christophe Candoni
Portée à la scène pour la première fois en France, Amsterdam, la pièce multi-primée de l’autrice israélienne Maya Arad Yasur, est montée par Laurent Brethome...
Transfuge
lundi 04 décembre 2023
Scène Laurent Brethome : « C’est une pièce coup de poing sur l’antisémitisme et la xénophobie »
Par Olivier Frégaville-Gratian d’Amore
Aux Gémeaux à Sceaux, Laurent Brethome présente l’adaptation française d’Amsterdam de Maya Arad Yasur, pièce multiprimée qui traque les blessures enfouies de notre passé commun....
Baronnesamedi.com
mercredi 12 mai 2021
Bienvenue en République Transparente et Démocratique !
Par Baronne Samedi
Bienvenue dans une nouvelle société ordonnée en castes, régie au travers du réseau Unidentity par une mystérieuse organisation politique, la Licorne. Sa promesse ? La sécurité absolue....
L'Alchimie du Verbe
mardi 30 janvier 2018
Du sang, du sang et du sang...
Par Louise Rulh
Ainsi, la représentation du texte ancien est modernisée, actualisée, tant dans les moyens techniques que dans la lecture qui en est faite. Les scènes de sang et de violence sont légions, entrecoupées de scènes plus ou moins provocantes et/ou sexuelles, le tout dans un cadre où la musique est omniprésente, faisant monter la tension, et où la scène pleine de néons est souvent plongée dans une fumée dense. Rien d’incroyablement original donc......
L.D.S Magazine
mercredi 10 janvier 2018
Le massacre de la Saint-Barthélémy ou comment la violence se déploie-t-elle?
Par Anne Contet
aurent Brethome a construit Margot comme un dyptique. Deux pièces qui débutent chacune par une fête : la première par le mariage de Marguerite De Valois et de Henri IV en 1572 et la deuxième par l’accession au trône d’Henri III.
Sceneweb
vendredi 17 novembre 2017
Le Margot à cœur et à sang de Laurent Brethome
Par Stéphane Capron
Laurent Brethome s’attaque à un monument oublié du répertoire, Massacre à Paris, la pièce de Christopher Marlowe rarement montée. Patrice Chéreau l’avait mise en scène en 1972 au TNP de Villeurbanne bien avant son film Margot. Laurent Brethome s’empare de ce texte avec gourmandise....
I/O Gazette
jeudi 31 mars 2016
« Démocrate ? Personne ne l’est plus que moi »
Par Lola Salem
De ce magma vaudevillesque, Claudia Stavisky tire du texte une force de frappe impressionnante. Le travail scénique, très soigné, met en avant la marche irrépressible d’un destin implacable. Teinté tout du long d’un comique subtil – où l’on rit volontairement jaune – le drame se noue dans un rythme parfaitement calculé et laisse place au plus terrible effroi....
Carnet d'Art
mardi 15 mars 2016
Une satire sociale pour le plaisir ?
Par Boris Tavernier
Vous aimez Molière ? Vous raffolez de ses docteurs, de ses bourgeoises et de toute sa valetaille ? Autre temps autres mœurs, le monstre à la mode s’appelle « brasseur d’affaire » mais les ficelles sont les mêmes – petite recette......
L'alchimie du verbe
jeudi 03 mars 2016
La tranquille fureur de l'argent...
Par Raphaël Baptiste
Chaque comédien a su, dans ces figures de personnages incertains, trouver de l'assurance, donner à chaque expression, une consistance, une forme dont l'apothéose se trouve dans l’interprétation de François Marthouret, qui confère à son personnage Isidore Le Chat, non pas de l’exubérance mais du charme, non pas une dureté ou une fermeté grinçante, mais plutôt une fragilité implacable, sévère, impérieuse....
lundi 08 octobre 2012
Par Trina Mounier
Immortalisée par le film de Volker Schlöndorff avec Dustin Hoffmann et consacrée par le prix Pulitzer, la pièce que Claudia Stavisky a choisi de porter à la scène pour ouvrir la saison des Célestins, « Mort d’un commis voyageur », est incontestablement un monument de la littérature américaine. Arthur Miller y raconte les cruelles désillusions d’un brave petit soldat de l’« american way of life » et sa descente aux enfers…...