La baronne au moment délicat de son déshabillage - le passage de la tête dans l’encolure du vêtement - a senti posé sur son… « permettez ici que je jette un voile » une main libidineuse. Et en même temps qu’il posait sa main sur les charmantes fesses de la baronne, l’ignoble individu s’écriait « du satin, du satin. »

Voulant découvrir le coupable de ce geste qui déshonore la baronnie, elle décide d’emmener dans son lit tous les amis de monsieur et au moment du plaisir extrême, un couteau caché sous l’oreiller, de leur faire reconnaître leur crime à son égard. Avouant le déshonneur premier et l’échec de son enquête, elle comprend que le criminel n’est autre que son mari.