Depuis son expérience personnelle de père d’un enfant épileptique, depuis son aventure estivale dans une maison chargée de spiritualité d’un petit village du sud de la France, depuis ses lectures de vulgarisation scientifique sur le fonctionnement du cerveau, Franck Manzoni brouille les pistes au fil d’une écriture labyrinthique. Comme s’il cherchait le sens dans la perte de repères ou pourchassait un état d’incompréhension éclairant. Ce rien si cher à l’écrivain Henri-Pierre Roché.