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Présentation

De tous les textes qu’aura "inachevés" la disparition soudaine de Didier-Georges Gabily (1996), A tout va est certainement celui qui mérite de paraître en premier. D’abord parce que sa forme — le journal — induit et en quelque sorte assume par avance ce même principe d’inachèvement auquel doit hélas s’affronter toute publication posthume. Ensuite parce que sa qualité, son exigence d’écriture semblent témoigner d’une intention, chez l’auteur, de l’amener à la publication. Enfin parce que son contenu le place à la croisée des chemins — on pourrait dire : professionnels, esthétiques, familiaux, politiques — à travers lesquels Gabily cherchait et dispensait une lumière nourrie de révolte, de véhémence, de passion et d’incertitude.

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