lundi 16 avril 2018
Efflorescence des sentiments
Par Karminhaka
Il n'y a presque rien sur la scène : une banquette, une chaise, deux bancs. C'est tout juste si le regard, avide d'inscrire de la matière dans ses rétines, ne porte pas sur le fond de la scène, où se détache un élégant papier peint parsemé de fleurs. Rien qui puisse cependant exalter son sens esthétique. Mais c'est ce rien qui fait tout le prix de "Un mois à la campagne", mise en scène par Alain Françon, dans la traduction de Michel Vinaver....