Distribution
Présentation
La danseuse et chorégraphe genevoise Marie-Caroline Hominal remonte aux origines des taxi-dancers, ces jeunes gens qui louaient leurs bras le temps d’une danse. Un spectacle qui convoque le frisson de l’interdit et l’élégance discrète de la séduction qui ne dit pas son nom.
Sometime I think / I’ve found my hero /but it’s a queer romance / All that you need is a ticket / Come on, big boy, / ten cents a dance… contait une chanson populaire des années 1930. Ten cents a dance, dix centimes pour une danse. On les appelle les taxi-dancers, ces jeunes gens qui louent leurs bras le temps d’une danse. On vient chercher auprès d’eux un contact physique ou de la tendresse, on vient jouer avec le désir, s’offrir une capsule de temps libéré du quotidien, abandonner à la musique et au déhanchement lascif un peu de sa solitude et y glisser un brin...