lundi 14 mars 2016
La chronique dessinée
Par Camilla Pizzichillo
Romeo Castellucci, Ethica, du 7 au 13 mars au T2G Gennevilliers. Copyright C. Pizzichillo / inferno 2016...
Roméo Castellucci ( Conception )
Inferno
lundi 14 mars 2016
La chronique dessinée
Par Camilla Pizzichillo
Romeo Castellucci, Ethica, du 7 au 13 mars au T2G Gennevilliers. Copyright C. Pizzichillo / inferno 2016...
Nonfiction.fr
lundi 14 mars 2016
Du théâtre comme installation plastique
Par Natacha Margotteau
Aller voir une pièce de Romeo Castellucci c'est aller se faire l'œil et l'oreille. Inutile donc de venir chercher dans Natura e Origine della Mente (« De la nature et de l'origine de l'esprit »), les propositions, démonstrations et scolies de Spinoza. Si le projet Ethica se déclare inspiré de l'oeuvre éponyme du philosophe néerlandais (et ici le Livre I), celui-ci est conçu sous la forme d'actions théâtrales. L'action, étymologiquement le drame...
Le grand théâtre du monde
samedi 12 mars 2016
Une fantaisie avec Spinoza
Par Armelle Heliot
"Nature de la pensée supérieure et pouvoir opérant de l'esprit", nous dit-on. Faut-il préciser que serait un menteur qui dirait qu'il saisit tout. Etudiant la philosophie à la Sorbonne, l'Ethique de Spinoza était au programme des premières années. Mais il nous fallut attendre les années 70 et les cours de Gilles Deleuze à Paris VIII-Vincennes pour avoir le sentiment -et précisons bien : le sentiment seulement- de comprendre Spinoza....
I/O Gazette
jeudi 10 mars 2016
Ton image me regarde
Par Marie Sorbier
Il me semble que tenter de décrire ce qu’il se passe dans ce cube immaculé est forcément une trahison. Nous sommes dans un laboratoire où l’image devient histoire puisque dotée de vies antérieures et futures. Ce chien/caméra qui miaule et parle me semble étrangement familier (depuis Aristote et relayé entre autres par Agamben, nous savons que « les animaux ne sont pas dépourvus de langage, au contraire, ils sont langage en permanence »), comme s’...
Culture au poing
mardi 08 mars 2016
Spinoza et le chien qui miaule…
Par Alban Orsini
Le spectateur rentre sur scène dans une forme de femme découpée à même la structure pour découvrir un plateau à la blancheur immaculée¹. Du plafond tombe une femme, accrochée qu’elle est par l’index à un câble lâche. Seulement l’index. Elle gémit de douleur ; on sent bien que c’est physique même s’il ne s’agit, comme en magie, que d’un tour bien habile de passe-passe. Elle est la Lumière. Elle la véhicule dans sa robe verte....