vendredi 27 septembre 2013
Les apparences sont souvent trompeuses
Par Laetitia Grimaldi
Il est quelque fois de bon ton de ne se fier ni à l’emballage, ni à la couleur. Les apparences sont souvent trompeuses et c’est le cas de la pièce « Les sex friends de Quentin ». Alors voilà, le titre est posé est peut être qu’une partie du public se détournera face à une appellation un peu trop simple, voire légèrement vulgaire. L’affiche rose criard n’en mène pas large non plus. Pour couronner le tout, lorsque l’on se rend sur place, on se retrouve à traverser un magasin pour finir ensuite dans une cave qui ne manque certes, pas de charme, mais qui peut effrayer un bon nombre de badauds. Surtout lorsque la musique de fond est Carmen, de Bizet, mais en version techno.