: Mise en scène chorégraphiée
Dès la première lecture de la pièce les Pousse-Pions un rythme de valse s'est imposé à moi ; Pas une grande valse viennoise ni une petite valse musette, mais une valse qui aurait un peu des deux ;
Volubile, comme ces caractères, et qui avance tout en tournant en rond ; Par cycles ; Quelque chose qui ne se repose que pour mieux repartir, qui ne meurt que pour mieux revivre, d'où l'idée des plantes vertes, à arroser, à tailler, à rempoter.
J'ai cherché à ce que chaque personnage soit toujours en train de faire quelque chose qui lui est très familier, très confortable, pour que chacun se sente "juste", pour que sa musique sonne juste dans l'ensemble des instruments qui jouent cette valse.
Les comédiens ne sortent jamais de scène, ils sont comme une famille, ne se connaissant pas vraiment et pourtant ayant toujours besoin de savoir les autres à proximité.
C'est comme si leur raison d'être était guidée de l'extérieur…
Par qui ? Peut être seulement une valse ?
Anne Martin
Ces fonctionnalités sont réservées aux abonnés
Déjà abonné,
Je me connecte
–
Voir un exemple
–
Je m'abonne
Ces documents sont à votre disposition pour un usage privé.
Si vous souhaitez utiliser des contenus, vous devez prendre contact avec la structure ou l'auteur qui a mis à disposition le document pour en vérifier les conditions d'utilisation.