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Les Géants de la montagne

On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de lesechos.fr

lundi 07 septembre 2015

Au bout du rêve pirandellien

Par Philippe Chevilley

On peut la trouver obscure, déroutante avec ses vertigineux jeux de miroirs, frustrante parce qu'il lui manque une fin... mais c'est ce qui fait son charme et sa beauté : la pièce de Pirandello « Les Géants de la montagne » (1928-1936) brille du mystère des grandes oeuvres inachevées. Et Stéphane Braunschweig au Théâtre de La Colline a su la rendre lisible, actuelle, tout en exaltant sa magie....

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Image de la critique de Nonfiction.fr

lundi 07 septembre 2015

Une réflexion profonde sur le théâtre

Par Alicia Dorey

ès les premières minutes de représentation, on devine instantanément l'extraordinaire richesse de ce texte inachevé du grand dramaturge italien, Prix Nobel de Littérature en 1934. L'histoire est savoureuse : six personnages aussi loufoques qu'extravagants vivent retirés dans la montagne autour du magicien Cotrone. Leur...

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Image de la critique de L'Humanité

lundi 07 septembre 2015

La villa de Pirandello n'est pas celle des Médicis

Par Marie-José Sirach

Comme un coup de tonnerre dans le paysage théâtral de la rentrée, la mise en scène des Géants de la montagne de Pirandello, 
par Stéphane Braunschweig, est un plaidoyer pour l’imaginaire, le rêve et la liberté....

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Image de la critique de LeJDD.fr

lundi 07 septembre 2015

Pour une défense de la poésie

Par Annie Chénieux

Impossible d’appréhender la dernière pièce, inachevée, de Pirandello sans la situer dans le contexte historique de l’époque, le fascisme de Mussolini. L’auteur entame l’écriture des Géants de la montagne en 1928, au moment où il doit fermer son théâtre d’art à Rome. Cette pièce, dans laquelle il voyait "le triomphe de l’imagination, le triomphe de la Poésie mais en même temps la tragédie de la Poésie dans la brutalité...

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Image de la critique de Le Monde.fr

samedi 05 septembre 2015

Braunschweig pose une « Montagne » sur sa Colline

Par Brigitte Salino

C’est une belle idée d’ouvrir la saison avec Les Géants de la montagne, de Luigi Pirandello, comme le propose Stéphane Braunschweig, à La Colline. Parce qu’elle contient tout ce que le théâtre peut offrir, en matière de rêves et d’illusions, parce qu’elle n’a pas de fin, la mort ayant empêché l’auteur d’aller plus loin que ce « J’ai peur » qui clôt le troisième acte, parce que son mystère reste entier quand on l’a vue jouer, cette pièce à...

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Image de la critique de PublikArt - Webzine Culturel

samedi 05 septembre 2015

Un questionnement subtil et méditatif sur la fonction de l’art

Par Amaury Jacquet

Stéphane Braunschweig réussie une mise en scène très aboutie dans un espace clair-obscur ingénieux et poétique, à la lisière du fantastique, qui nous plonge d’entrée dans un univers à la fois épuré et ambigu, où la frontière entre le réel et l’imaginaire se révèle tangible et fragile.

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Image de la critique de Sceneweb

vendredi 04 septembre 2015

Braunschweig achève Pirandello

Par Stéphane Capron

Stéphane Braunschweig ouvre la saison avec la dernière pièce du dramaturge Luigi Pirandello, « Les géants de la montagne » écrite peu de temps avant sa mort en 1936, pièce lyrique inachevée. Claude Duparfait en Cotrone et Dominique Reymond en Ilse donnent les clés de ce texte compliqué sur la puissance du rêve dont Stéphane Branschweig a imaginé une fin....

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Image de la critique de Le Figaro

jeudi 03 septembre 2015

Les petits pas des Géants de la montagne

Par Armelle Heliot

Je pense que la vie est une triste bouffonnerie pour la raison que nous avons en nous, sans savoir ni comment ni pourquoi, ni par qui, la nécessité de nous abuser continuellement nous-mêmes par la création spontanée d'une réalité, (une pour chacun et jamais la même pour tous), réalité qui de loin en loin se découvre vaine et illusoire.» Ainsi disait Luigi Pirandello...

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Image de la critique de Libération.fr

jeudi 03 septembre 2015

Pirandello, les portes de l'au-delà

Par Hugues Le Tanneur

A la Colline, Stéphane Braunschweig rend compte avec précision et tact des énigmes posées par «les Géants de la montagne», sans doute la plus belle pièce du dramaturge sicilien. «De l’autre côté du pont, nous fûmes accueillis par des fantômes.» Cette phrase, extraite du Nosferatu de Murnau et qui ravissait le surréaliste André Breton, pourrait servir de sésame à qui veut pénétre...

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