samedi 14 juillet 2018
Le drame d’un corps épuisé et la légèreté d’un instant d’amitié
Par Mariane Dedouhet
Il entre par derrière, droit et sec, nous fixe, sans dureté mais sans nous laisser pour autant la possibilité d’échapper à sa présence, comme la mort qui rôderait sous une apparence familière. C’est vers elle, vers les jours qui la précèdent à plus ou moins brève échéance, que convergent ces deux récits testamentaires de Lagarce.......