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On en parle dans la presse et sur le web

Image de la critique de Rue89

jeudi 31 octobre 2013

Engel a plus d’un Horvath dans son sac

Par jean-Pierre Thibaudat

Dans l’antre de la colline de Chaillot, on peut voir deux pièces d’Odon von Horvath : « Meurtres dans la rue des Maures » (1923, sa toute première pièce) et « L’Inconnue de la Seine » (1933) pour le prix d’une puisque les deux pièces sont réunies en une, sous un titre alléchant : "La Double mort de l’horloger".Engel a plus d'un Horvath dans son sac Le titre résume bien le réalisme fantastique de l’auteur mais il est un peu seul. Certes, sur la sc...

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Image de la critique de L'Humanité

lundi 28 octobre 2013

L’une inconnue l’autre méconnue

Par Jean-Pierre Léonardini

Sous le titre la Double Mort de l’horloger, André Engel a réuni deux pièces d’Ödön von Horvath 
(1901-1938), qu’il a déjà traité avec bonheur (1)....

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Image de la critique de Théâtre du blog

mercredi 23 octobre 2013

La double mort de l’horloger

Par Christine Friedels

La double mort de l’horloger, d’après Meurtre dans la rue des Maures et L’inconnue de la Seine, d’Ödon von Horvath, mise en scène André Engel. Les petits-bourgeois ne sont pas à la noce –on se pardonnera cette plaisanterie en hommage à Bertolt Brecht-, c’est le moins qu’on puisse dire : mère débordée, père absent, pas d’argent, fille en train de tomber dans les pattes d’un homme pénible, fils aîné travailleur pauvre, bru écrasée de ménage. Pire...

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Image de la critique de Le Souffleur

mardi 22 octobre 2013

C’est une sensation étrange

Par Hugo Martin

C’est une sensation étrange et difficilement dicible, rare. On voit sans toucher, on prend sans être pris. Sur scène il y a l’une à la suite de l’autre deux courtes pièces qu’Odön von Horvath a écrit à dix ans d’écart, 1923, 1933, pas dans l’idée d’une suite d’une variation ou d’un écho mais que le metteur en scène André Engel juxtapose en adaptant quelques détails avec les mêmes comédiens pour former une réaction nouvelle...

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Image de la critique de Le Figaro

lundi 21 octobre 2013

Les douces romances d'Odon von Horvath

Par Armelle Héliot

À Chaillot, André Engel réunit deux pièces de l'écrivain dans « La Double Mort de l'horloger ». Une troupe exceptionnelle défend des personnages très attachants sur fond de crise et de menace, de 1923 à 1933....

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Image de la critique de Les Trois Coups

lundi 21 octobre 2013

Horloge mal réglée

Par Maud Sérusclat-Natale

Sur la scène du Théâtre national de Chaillot, André Engel présente au public sa troisième mise en scène de l’auteur austro-hongrois Ödön von Horváth. Pour l’occasion, il confronte deux textes écrits à dix ans d’intervalle, mêlant ambiance glauque et apparitions fantastiques sur fond d’enquête. Un travail propre, servi par une distribution exceptionnelle, mais dont les rouages manquent de surprise...

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Image de la critique de France Inter

lundi 21 octobre 2013

L'Humeur vagabonde - André Engel / France Inter

Par Kathleen Evin

L'Humeur vagabonde reçoit le metteur en scène André Engel pour "La double mort de l'horloger", d’après deux pièces d’Ödön Von Horvath, "Meurtre dans la rue des Maures" et "L’Inconnue de la Seine" - au théâtre de Chaillot du 17 octobre au 9 novembre...

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Image de la critique de Rideau !

dimanche 20 octobre 2013

Le bal des assassins

Par Jack Dion

Odön von Horvath (1901-1938) est l’homme du théâtre noir, si l’on ose dire. Chez lui, on se retrouve (presque) toujours avec des faits divers criminels, choisies comme substrat d’un regard aiguisé sur la société. On en a une nouvelle preuve avec deux pièces réunies par André Engel sous le titre de « La double mort de l’horloger », interprétées à la suite l’une de l’autre par les mêmes acteurs, comme si l’on était dans une même histoire....

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Image de la critique de Un fauteuil pour l'orchestre

samedi 19 octobre 2013

Comme un cycle perpétuel de l’Histoire

Par Camille Hazard

Les deux textes d’Odön von Horváth « Meurtres dans la rue des Maures » et « L’inconnue de la Seine » reflètent toutes deux l’atmosphère nauséabonde de l’Allemagne de 1923 à 1933. Sous les traits de faits-divers criminels, il peint en visionnaire, la crise économique allemande, la montée du nazisme et la mentalité individualiste, méfiante, délirante qui s’installera au cœur des villes, des quartiers et des familles.

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Image de la critique de lesechos.fr

dimanche 13 octobre 2013

La répétition du malheur

Par Philippe Chevilley

’assassin de l’horloger s’est pendu. Il est laissé seul au bout de sa corde, quand le fantôme de la victime, le vieux Simon Kohn, entre dans la pièce. Il étreint un instant son criminel, dénoue la corde, l’entraîne dans une courte valse et l’envoie flotter dans le vaste monde des spectres – sans doute moins mauvais que celui des vivants. Cette belle image qui clôt la première partie de « La Double Mort de l’horloger » résume tout l’art sensible d’André Engel pour faire passer un frisson d’humanité dans une œuvre noire : le théâtre acide et désespéré d’Ödön von Horvath (1901-1938).

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