: Présentation
Je meurs comme un pays raconte la mort physique et spirituelle d’un pays vaincu, en décrivant un futur qui pourrait être le nôtre demain.
La remémoration douloureuse par un chœur de femmes d’une tragédie nationale : une parole anonyme pour raconter l’agonie d’un pays, incapable de se défaire des entrelacements de sa propre Histoire. Par sa construction complexe et elliptique, la violence, la poésie de son écriture, Je meurs comme un pays invite à une réflexion sur les apories d’un monde où l’Histoire s’agite convulsivement. Inspiré par la lecture de « La Guerre du Péloponnèse » de Thucydide, et notamment de la peste d’Athènes, Dimitris Dimitriadis nous offre une variation littéraire moderne, violente et provocante de l’œuvre de l’historien antique qui nous met devant la fin d’un cycle.
Cyril Desclés
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