On saluera la performance de la danseuse Marion Gassin dans une chorégraphie hybride mêlant classique et contemporain....

Lire l'article sur LaProvence.com

Un patchwork de tissus rouges s’étale sous nos yeux dans le Théâtre Golovine. Autant de morceaux de tissus cousus les uns aux autres comme autant de morceaux d’existence mis bout-à-bout et qui finissent par tisser la trame d’une vie. De même, les musiques composées par Baptiste Zsilina se succèdent au cours du spectacle, formant une sorte de rhapsodie tout à la fois joyeuse et mélancolique....

Lire l'article sur Théâtre Actu

Une expérience sensitive et sensible d’une grande qualité étrange et chaleureuse à la fois....

Lire l'article sur Avignon et moi

On est ému mais on rit aussi des situations ou postures incongrues et des réactions de la danseuse face à son double. On a du mal ensuite à s’extraire de cette bulle protectrice dans laquelle on nous a enveloppés....

Lire l'article sur L'Echo du Mardi

Théâtre de l'atmosphère et de l'étrange, l'univers de Deraïdenz se veut fantastique, mystérieux et merveilleux. Le spectateur est immergé dans une sorte de monde parallèle grâce à l'esthétique, la musique et les dynamiques qui sont souvent déréalisées ; des temps de lenteur s'entremêlent à des......

Lire l'article sur La Revue du Spectacle

Ce spectacle est intemporel et éternel. Il vient du plus profond des âges et peut se vivre à l'instant ou dans mille ans. L'affiche, rien qu'elle, me bouleverse et me donne un sentiment d'enveloppement, de matrice protectrice, de douceur de l'en-delà (pas de l'au-delà). Chaleur humaine, maternelle, enveloppante, sororité, gémellité, sont des mots qui naissent dans mon souvenir de cette représentation....

Lire l'article sur Vivantmag

Léa Guillec et la compagnie Deraïdenz signent un spectacle envoûtant, déroutant et beau. Inkarné en devient obsessionnel. InKarné prend donc forme d’une poésie profonde où la douleur et la tristesse côtoient l’euphorie et la transe de se sentir vivant. Bien vivant, dans l’état du monde que nous connaissons. Et Léa Guillec signe une mise en scène pour un corps dansant, une première chez Deraïdenz qui prend des allures de Sacre du Printemps....

Lire l'article sur Ouvert Aux Publics

Libre Théâtre vous recommande InKarnè par la Compagnie Deraïdenz. Selon Bergson, le comique surgirait de la déshumanisation du corps. On provoquerait le rire en réduisant l'être humain à une machine devenue absurde, faute d'être pilotée par un esprit éclairé. Mais il n'y a souvent qu'un faux pas du comique au dramatique, et cette dialectique du corps et de l'esprit peut aussi définir le sentiment tragique de l'existence. Une dialectique qui est a...

Lire l'article sur Libre Théâtre

Libre Théâtre vous recommande InKarnè par la Compagnie Deraïdenz. Selon Bergson, le comique surgirait de la déshumanisation du corps. On provoquerait le rire en réduisant l'être humain à une machine devenue absurde, faute d'être pilotée par un esprit éclairé. Mais il n'y a souvent qu'un faux pas du comique au dramatique, et cette dialectique du corps et de l'esprit peut aussi définir le sentiment tragique de l'existence......

Lire l'article sur Libre Théâtre