: Scénographie
Un décor blanc dont la neige a tout recouvert, ne laissant que l’illusion vague de formes connues. Jeux de lumières sur le positif et le négatifs, naissances des ombres et des imaginations. Costumes, accessoires, objets et tissus, tous issus de l’avion, des valises, réinvestis, transformés, réinterprétés, réinventés, recyclés dans une absolue nécessité mais nous rappelant sans cesse : « Ne possédons nous pas déjà l’essentiel ? ». Dans ce texte, l'espace se globalise progressivement et très vite, on ne fait plus la différence entre l'extérieur et l'intérieur de l’avion. Il s'agira dans cette scénographie de développer principalement les degrés de perception, ceux qui sont visibles, ceux qui sont invisibles, ceux qu'on entend, ceux qui n'entendent pas...et également les frontières, celles du collectif et d'individu, comme une cartographie des territoires (occupé, isolé, envahi, inexploré et dangereux, interdit...), mais dans un espace globalement blanc où tout se ressemble, mais pas tant que ça. Une immense porte ouverte à l’imagination qui n’est pas ici la faculté de former, mais plutôt de déformer les images et les significations.
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