lundi 16 octobre 2017
Par amour (de la liberté).
Par Boris Tavernier
Cette nouvelle Carmen a le verbe fort, acidulé, tendre et touchant, impertinent, drôle ou pathétique. La salle rit, souvent, entre deux sanglots humides. Les comédiens et comédiennes servent leurs personnages avec délicatesse ou exubérance, capturent avec justesse l’enthousiasme des jeunes années, le tragique des rêves amoindris dont subsiste l’écho chéri dans une lettre jaunissante et le visage d’une enfant, l’assurance de la beauté......