La lumière pour BIOS (quelques tentatives) est et se devait d’être intimement liée à la scénographie de Xavier. Ainsi, lorsque le monolithe est opaque, la lueur pâle et verticale ne souligne que le pourtour du plateau. On tente alors des percées au sol, en résistance à cette chape nous surplombant, éphémères clartés contrastant l’obscurité.

Enfin, quand l’opacité chute du plafond, celui-ci devient comme un vélum irradiant l’espace sous-jacent, pour, à terme envahir le public alors invité à nous rejoindre.

La sèche