jeudi 13 juin 2013
Une heure vingt cinq de fascination
Par Simone Alexandre
Si j'étais sexiste, je dirais que Dea Loher écrit comme un homme avec toute la puissance qu'on leur prête communément. Quelle ironie dans le titre ! ..." espoir des femmes ", laissant supposer que chacune d'entre nous attend la mort de la main de celui qu'elle aime, à défaut d'en recueillir cet amour " au delà de toute mesure. " Tragédie comique ont dit certains et ce n'est pas faux car ce Don Juan malgré lui, fait plus que tenir ses promesses.