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Dernières critiques
Un certain regard sur la culture
jeudi 25 novembre 2021
Julia Perazzini, le sens de la vie
Par Guillaume Lasserre
La comédienne suisse interroge le sens de la vie en conviant son frère ainé décédé avant sa naissance à un diner imaginaire. « Le souper », seule-en-scène plein d’humour et de tendresse, désamorce sa propre peur de la mort en éveillant notre relation à l’invisible. Une subtile conversation d’outre-tombe qui témoigne de la possibilité de rire avec les morts. Splendide....
Un certain regard sur la culture
mardi 02 février 2021
Par Guillaume Lasserre
Dans l'immense halle du Carreau du Temple, rarement exploitée pour des spectacles et transformée ici en réjouissante piste de danse, Yves-Noël Genod convie une centaine d'amateurs et de professionnels, jeunes et vieux, à se remettre en mouvement et nous avec. « Sur le Carreau », prodigieuse nef des fous, incarne le monde selon Genod. Décidément, cet homme est essentiel....
La Parafe
lundi 01 février 2021
Par Floriane Toussaint
Alors que des camions de CRS encombrent les rues qui partent de la place de la République en raison d’une manifestation contre la Loi Sécurité globale, et qu’il faut pour cette raison faire de nombreux détours pour atteindre la Halle du Carreau du Temple, une fois à l’intérieur, le réel s’évanouit. Dans ce grand espace baigné de lumière grâce à ses verrières, on oublie, pendant un peu plus d’une heure, les masques, la distanciation, sociale, et t...
Sceneweb
samedi 23 janvier 2021
/ itw / Yves-Noël Genod transforme les répétitions en représentations
Par Anaïs Heluin
Dans le cadre du festival Faits d’Hiver, Yves-Noël Genod devait présenter les 30 et 31 janvier le fruit d’un travail mené avec une centaine d’amateurs et de professionnels. L’interdiction pour les lieux culturels d’accueillir du public n’a guère perturbé le projet, qui repose sur l’effacement des frontières entre répétitions et représentations. Sous la Grand Halle […]...
Politis.fr
dimanche 10 janvier 2021
Yves-Noël Genod : Faiseur de foule
Par Anaïs Heluin
Au Carreau du Temple, l'inclassable Yves-Noël Genod se joue des restrictions avec une centaine d'amateurs et de danseurs professionnels....
I/O Gazette
mardi 07 mars 2017
Par Ludmilla Malinovsky
Yves-Noël Genod agite aux Bouffes des fantômes proustiens qui peuplent curieusement le vide des murs. Il agrège, à la manière un peu grossière d’un pot-bouille, des bribes de « La Recherche ». Sa voix se tient sans cesse au bord de l’endormissement, indolente, avalant les phrases proustiennes dans un chuchotement sacrilège. Et il y a, dans ce......
Inferno
vendredi 24 février 2017
Par Camilla Pizzichillo
La chronique dessinée de Camilla Pizzichillo sur La recherche de Yves-Noël Genod....
ThéâToile
vendredi 24 février 2017
La recherche : Proust et le temps retrouvés
Par Sonia Bos-Jucquin
Après Remise Venise, présentée en janvier dernier au Festival d’Armentières Vivat la danse !, où il s’emparait déjà de Proust dans une proposition inédite, Yves-Noël Genod poursuit son projet autour de l’auteur de l’œuvre fleuve A la recherche du temps perdu, en donnant à voir et entendre son appropriation personnelle de La recherche, ponctuée d’anecdotes et de commentaires au fil de sa lecture qui nous fait perdre toute notion du temps....
L'Insensé
vendredi 20 novembre 2015
Par Jérémie Majorel
Formé à Chaillot par Antoine Vitez, comédien chez Régy dans les années 1980, puis chez François Tanguy dans les années 1990, Genod dans ses mises en scène a fondu ces trois couleurs inimitables dans le « noir de velours » qui est sa touche et son hospitalité, lui qui a pris l’habitude d’accueillir en dandy chaque spectateur au champagne pour un « toast funèbre » (Mallarmé). Là commence son adresse....
mercredi 09 avril 2014
« 1er avril » : ne dites à personne que c’est une drogue dure
Par Jean-Pierre Thibaudat
Tous les spectacles d’Yves-Noël Genod s’apparentent à une dose de drogue, de poison et ce n’est pas sa nouvelle création « 1er avril » qui changera ce maléfice, au contraire.C'est un drogué qui écrit ces lignesCertains résistent (et partent de la salle), on ne peut pas leur en vouloir. On hésite à embrasser les délices de l’inconnu, le vertige voluptueux du vide, à accepter de perdre ses repères habituels quant aux codes de la représentation ......