vendredi 31 mai 2013
Par Caroline Châtelet
Dans l'un de ses précédents spectacles, Extase de Sainte Machine, Thomas Ferrand mettait en scène deux comédiens dans un espace nu. Debout avec à leurs pieds un pack de bières, ceux-ci ne bougeaient pas, ne parlaient pas, seule l'intensité lumineuse et la musique amenant le mouvement. Proposition radicale par son atmosphère dérivant du contemplatif à l'hypnotisme, Extase de Sainte-Machine frôlait, aussi, une forme d'hermétisme. Comme si (...)...
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