Zibeline
mercredi 10 avril 2019
Par Chris Bourgue
« Une mélopée poétique d’une grande intensité qui mêle l’innocence de l’enfance au trouble de la maturité... superbement interprétée par Stéphanie Rongeot, à l’énigmatique sourire de Joconde »...
France
Zibeline
mercredi 10 avril 2019
Par Chris Bourgue
« Une mélopée poétique d’une grande intensité qui mêle l’innocence de l’enfance au trouble de la maturité... superbement interprétée par Stéphanie Rongeot, à l’énigmatique sourire de Joconde »...
Zibeline
vendredi 18 janvier 2019
Par Chris Bourgue
Lamento de Livia se donne dans le cadre d’un bistrot dont vous êtes les clients. Une femme brisée vous apostrophe et réclame sa part. Sa plainte monte comme un chant sourd. Ses souvenirs affleurent en même temps que le manque. Elle boit. Pour oublier sa solitude. Le texte s’écoule simplement avec une vérité crue, qui ne juge pas, laisse sourdre l’émotion. Un très beau portrait de femme blessée, merveilleusement interprété par Lucile Jourdan......
Journal La Terrasse.fr
vendredi 22 juin 2018
Portrait de femme sous emprise
Par Marie-Emmanuelle Dulous de Méritens
La pièce en forme de monologue, d’adresse directe au public, narre l’histoire de Livia, l’italienne. Elle se noie. Dans l’alcool. Seule en scène, la comédienne et metteure en scène Lucile Jourdan, à l’initiative de cette commande de portrait de femme sous emprise, donne corps et voix à cette femme broyée....
lundi 08 décembre 2014
Par Agnés Freschel
Lucile Jourdan a choisi de mettre à distance ces douleurs en tirant le conte vers un irréalisme du jeu et des costumes, des lumières. Les masques sublimes, les transparences du décor, fabriquent de très belles images, effrayantes pourtant, mais rendues supportables. Car ici pas de méchant, pas d’innocent : si les loups mangent c’est pour ne pas mourir....
mardi 14 janvier 2014
Une interprétation scénique exclusivement féminine
Par Véronique Hotte
Diptyque Agnès hier et aujourd‘hui: Agnès de Catherine Anne, L’École des femmes de Molière, mise en scène de Catherine Anne. L’École des femmes (1662) a donc trois cent cinquante ans, et Agnès (1994) de Catherine Anne en a vingt, et l’auteure d’aujourd’hui choisit de les mettre en regard, avec une interprétation scénique exclusivement féminine. Certes, l’une et l’autre intrigues n’ont rien en commun, quant à l’époque et au cadre sociologiq...
Regart's
mardi 14 janvier 2014
C'est la domination d'un homme...
Par Bruno Fougniès
Quand le théâtre s'empare du vif. La pièce traite d'un sujet jamais nommé sinon par « ça ». « Ça » c'est l'innommable, aussi bien pour les victimes que pour les témoins qui ne veulent pas voir ça, et aussi pour le coupable qui refusera toujours d'admettre qu'il l'a commis.
lundi 13 janvier 2014
Par Laura Plas
Catherine Anne met en scène avec la même distribution et la même scénographie « l’École des femmes » et sa pièce, « Agnès ». Ce diptyque sur les relations douloureuses et incestueuses entre une enfant, Agnès et son père (ou tuteur) ne manque pas d’audace, mais la metteuse en scène semble bien plus à l’aise avec son œuvre qu’avec celle de Molière...
jeudi 19 décembre 2013
Par Manuel Piolat Soleymat
Agnès de Catherine Anne. L’Ecole des femmes de Molière. L’ancienne directrice du Théâtre de l’Est Parisien met en scène un diptyque sur la question du désir incestueux. Deux propositions créées « avec une troupe unique et dans une scénographie commune »....