Né en 1966, il s’est formé au cours Jean-Laurent Cochet, Véra Gregh, et à l’Atelier Andreas Voutsinas.

C’est sa rencontre avec Laurent Terzieff, qui le dirige dans Dernières lettres de Stalingrad qui l’amène à s’intéresser à des pièces inédites de Murray Schisgal.

Il a joué dans Le Cid de Corneille mis en scène par Alain Ollivier ; le Chant des Chants, traduit par Henri Meschonnic, Trilogie du revoir de Botho Strauss, Le Canard Sauvage d’Ibsen mis en scène par Patrick Haggiag ; les Frères Karamazov de Dostoievski, Athalie de Racine mis en scène par Jean Gillibert ; les Hauts Territoires de René Zahnd, Comédie de Beckett par Henri Ronse ; La Métamorphose de Kafka par Fabienne Ankaoua ; Fragments de Murray Schisgal par Philippe Ferran ; Andromaque de Racine et La Poche Parmentier de Georges Perec par Michel Guyard.

Pour sa première mise en scène, il a eu envie de réunir trois pièces courtes de Murray Schisgal. Le spectacle est créé en mars 2007 au Théâtre Gérard Philipe de Saint-Denis dirigé par Alain Ollivier.

Stéphane Valensi prépare la mise en scène de Maman revient pauvre orphelin de Jean-Claude Grumberg, ainsi que d’une nouvelle pièce de Schisgal, qu’il a traduite, le Ministre Japonais du commerce extérieur (d’après Le Révizor de Gogol).