Trois générations. Un exil. Et le silence… Sabrina Kouroughli propose au Théâtre de Belleville une lecture réussie de la fresque familiale d’Alice Zeniter....

Naïma, petite-fille de harki part à la recherche de ses origines.  Elle souhaite lever la chappe de silence qui s’est posée sur l’histoire de sa famille....

Prix Goncourt des Lycéens 2017, L’Art de perdre d’Alice Zeniter est adapté par la metteuse en scène et comédienne Sabrina Kouroughli. Un spectacle où se raconte la nécessité de la transmission pour construire son identité....

Profondément affectée par les attentats de 2015 qui la renvoient à ses cheveux bruns, sa peau mate, au silence de son père, à la honte de son grand-père harki, Naïma interroge ses racines et finira par partir à leur recherche en Algérie. Sabrina Kouroughli adapte le très beau roman d’Alice Zeniter en quête de réconciliation avec la mémoire de sa famille....

L’accès au pouvoir de Titus le pousse à s’éloigner de celle qu’il aime et qui lui était promise… au détriment d’Antiochus qui s’efface devant le pouvoir malgré son amour lui aussi…...

Racine nous conte l’amour impossible de Titus et Bérénice. La raison d’Etat est plus forte que la passion amoureuse. La loi romaine interdit d’épouser une reine étrangère. La mise en scène de Gaétan Vassart est assez particulière et un peu statique mais quel grand plaisir de découvrir Valérie Dréville dans Bérénice....

Sur les planches cette semaine, la quête d'un douloureux passé familial en huis clos, et une nouvelle adaptation du roman-fleuve de Léon......

La plus belle femme russe, alias Anna Karénine, est née en Iran. La star de cinéma en exil Golshifteh Farahani incarne avec grâce et vérité l'hé......

Gaëtan Vassart signe une adaptation probe du célèbre roman de Léon Tolstoï et en fait une mise en scène délié, originale, simple. Dans la partition de l'héroïne, Golshifteh Farahani impose sa personnalité délicate et profonde. Elle est bien entourée....

Golshifteh Farahani était très attendue sur les planches françaises. Dans cette « Anna Karénine » créée au théâtre de La Tempête, elle montre qu’elle est tout aussi à sa place sur une scène que devant la caméra.