Ludivine Delahayes monte pour la première fois sur scène pendant ses années lycée dans sa Normandie natale. Jusque là passionnée de théâtre classique, elle y découvre un répertoire contemporain et notamment l’écriture de Thomas Bernhard.

Après ses études de langues étrangères qu’elle terminera aux États-Unis, elle s’installe à Paris et intègre l’école de théâtre l’Eponyme où elle suivra pendant deux ans, un enseignement pluridisciplinaire chant – danse – théâtre.

Elle y rencontre Françoise Roche avec qui elle continuera son travail d’interprétation à l’ATC, atelier théâtral de création. Elle s'essaye notamment à l'écriture et à la mise en scène de formes courtes.

Elle puise son inspiration principalement chez les auteurs nordiques, notamment Lars Noren, Jon Foss ou encore l’auteur allemand Falk Richter.

En 2014, elle vit sa première expérience audiovisuelle sur le tournage de Danbé la tête de haute, de Bourlem Guerdjou.

2015 verra la naissance du projet King Kong théorie, mis en scène par Emmanuelle Jacquemard, joué entre 2015 à 2016 en passant par le off du Festival d’Avignon 2016. Selon elle, jouer c'est s'oublier et donner. Il faut être précis et donc maitriser son corps et sa voix.

Après un an au centre des Arts de la scène à Paris 15 ou elle apprend le chant chorale, et 2 ans de coaching lyrique au côté de Dragana Serbanovic, elle rencontre Mark Marian en qui lui fait prendre conscience de sa voix pleine et avec qui elle travaille un répertoire moderne (pop) mais aussi des classiques de comédies musicales.

Ludivine est également choriste au sein de la chorale gospel the Amazing Gospel Spirit.

En 2016, Ludivine monte sa Compagnie: KM 28 et l'année suivante, écrit et produit sa première pièce Interférences, Daughter translates Mother qu'elle reprendra en 2022.

Depuis 2022 elle fait partie de la compagnie GROUCHA et sera à l'affiche de La culotte (Jean Anouilh) puis Don Juan la mort qui fait le trottoir (Henry de Montherlant). Elle y incarne divers personnages dans un univers burlesque et décalé cher au metteur en scène, Gaelle Meunier.