theatre-contemporain.net artcena.fr

Photo de Lucie Hanoy

Lucie Hanoy

France

Suivre aussi Lucie Hanoy sur :

Dernières critiques

Image de L'Imposture

Toutelaculture

samedi 13 juillet 2019

"L'Imposture" impose Lucie Hanoy comme une marionnettiste singulière

Par Mathieu Dochtermann

Pour son grand début au festival RéciDives 2019, L’Imposture, la première grande forme de Lucie Hanoy – a.k.a. Lulu – a convaincu le public. Le …...

Lire l'article sur Toutelaculture

Image de La Pluie d'été

Sceneweb

samedi 13 décembre 2014

Deux visions de Pluie d'été de Duras par Sylvain Maurice

Par Stéphane Capron

Sylvain Maurice, le directeur du CDN de Sartrouville adapte le roman de Marguerite Duras pour deux publics dans une version marionnette pour enfants dès 9 ans et dans une version pour adulte. On a préféré la version adulte beaucoup mieux portée par les acteur...

href="http://www.sceneweb.fr/2014/12/pdeux-visions-de-pluie-dete-de-duras-par-sylvain-maurice/" target="__blank"> Lire l'article sur Sceneweb

Image de Histoire d'Ernesto

Paris Mômes

mercredi 26 novembre 2014

Une intéressante petite forme marionnettique

Par Maïa Bouteillet

En 1968, Marguerite Duras écrivait Ah ! Ernesto, conte pour enfant qui narre le parcours extraordinaire d’un enfant prodige, fils d’une famille pauvre et analphabète et qui pourtant accède à la connaissance de manière presque intuitive. « Je retournerai pas à l’école parce que, à l’école, on m’apprend des choses que je sais pas », déclare Ernesto, à la stupéfaction générale.

href="http://www.parismomes.fr/guide-des-sorties/8-28-903/spectacle/histoire-dernesto" target="__blank"> Lire l'article sur Paris Mômes

Image de Histoire d'Ernesto

Télérama

lundi 10 novembre 2014

On voit rarement des marionnettes dites de Kokoschka

Par Mathieu Braunstein

On voit rarement des marionnettes dites de Kokoschka, du nom du peintre autrichien (1886-1980). Ce procédé, qui consiste à poser une (vraie) tête d'acteur sur un corps minuscule dont les bras et les jambes paraissent ­animés d'une vie autonome, ouvre ­pourtant des perspectives irrésistibles. ­Sylvain Maurice l'utilise pour son adaptation de La Pluie d'été, de Marguerite Duras, roman tardif mettant en scène une famille nombreuse et dysfonctionnelle dans un pavillon de banlieue. Mais c'est aux seuls parents — la mère, qui épluche des pommes de terre toute la journée et oublie le prénom de ses enfants,

href="http://www.telerama.fr/art/histoire-d-ernesto,118954.php" target="__blank"> Lire l'article sur Télérama