mardi 10 février 2009
Les Lazarides ou les enfants de Saturne
Par Claire Stavaux
Paul Celan avait intitulé un de ses poèmes « Todesfuge », sorte de fugue poétique où s’entrelacent et se répètent comme une litanie des motifs de mort et de souvenir. D’une manière comparable par bien des aspects, Olivier Dhénin « compose » un « ricercare » où le langage poétique de la musique et des mots se fait porteur de malédiction et instrument de vengeance. Une mise en scène de l’auteur, qui explore par d’autres chemins des thématiques du...