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Dernières critiques

La Parafe
samedi 14 mars 2020
"Le Bain" - ecphrasis théâtrale
Par Floriane Toussaint
Après la figure de Vénus, après la tapisserie de La Dame à la licorne, après les grottes de Lascaux, Gaëlle Bourges explore avec les moyens de la scène de nouvelles œuvres appartenant à l’Histoire de l’art : Diane au bain de l’Ecole de Fontainebleau, et Suzanne au bain, du Tintoret. Pour ce diptyque qu’elle nomme Le Bain, l’artiste change d’échelle et passe de celle humaine des corps à celles de poupées. Alors que sa pratique, qui mêle théâtre, p...

I/O Gazette
lundi 03 février 2020
Par Lola Salem
Le travail de Gaëlle Bourges est une recherche permanente et autoréflexive des dispositifs capables de rendre compte de la matière dont sont faites les fables fondamentales et leurs déclinaisons visuelles au cours de l’histoire de l’art. Plus le verbe est rebelle à faire corps, plus l’artiste s’attache à y démêler les éléments aptes à être......

Inferno
mercredi 13 mars 2019
« Conjurer la peur », une transe-en-danse historique
Par Yves Kafka
Transcender les peurs qui creusent à travers le monde le lit des populistes de tous poils, l’ouvrage éponyme de Patrick Boucheron – figure tutélaire de l’inspiration présente – s’y employait avec la profondeur de vue du médiéviste ouvert aux préoccupations contemporaines. L’historien enfoncerait le clou – à quelques jours de l’attentat de Charlie hebdo – en publiant sous sa direction une volumineuse

lundi 20 juillet 2015
Par Raphaël Baptiste
L’espace se remplit peu à peu de corps glabres, qui évoquent avec leurs masques, une animalité grimaçante et idolâtre. Il s’agit pour Gaëlle Bourges d’étudier à travers le récit d’une voix off, l’héraldique des tapisseries du Moyen-âge, et plus particulièrement celle de la Dame à la licorne. Le récit florissant tisse un canevas qui va peu à peu essayer de comprendre toute la génuinité de cette jeune vierge présentée dans un décor champêtre,

vendredi 17 juillet 2015
Par Élise Ternat
Les jeunes filles représentées sur les tapisseries du Moyen Âge sont elles toujours vierges ? Et les licornes sont-elles des êtres aussi purs que les légendes le laissent croire ? Voici quelques-unes des questions posées par Gaëlle Bourges dans « À mon seul désir », création chorégraphique tout à fait réjouissante....

vendredi 17 juillet 2015
De l’art à la danse, d’un dialogue esthétique à l’autre
Par F
Au haut de la page de présentation d’A mon seul désir dans le programme du Festival, se trouve l’inscription « danse ». La catégorie est trompeuse pour ce spectacle qui mêle au corps et à sa mise en espace le texte – comme les formes hybrides présentées dans le cadre des Sujets à vif. D’une rêverie sur une tapisserie, La Dame à la licorne, naît un rêve qui embarque dans l’intimité du dialogue mis en place par Gaëlle Bourges avec cette œuvre....