theatre-contemporain.net artcena.fr

Pas de photographie de cet auteur

Anne Gayan

Slovénie

Dernières critiques

Image de La Double inconstance

Théâtre Passion

mercredi 20 mars 2019

Une comédie cruelle sur l'inconstance des sentiments

Par Anne Delaleu

Le Prince s’ennuie, se morfond dans son palais, voilà qu’il tombe amoureux d’une jeune paysanne pétillante et jolie, Sylvia. Il est Prince et selon son bon vouloir fait enlever la jeune fille, l’installe dans son palais, sans se faire connaître. Trivelin, son bras droit et Flaminia, fille d’un domestique, sont en charge de servir Sylvia et surtout la contraindre à aimer le Prince.

Lire l'article sur Théâtre Passion

Image de La Double inconstance

Sceneweb

jeudi 07 mars 2019

La Double Inconstance vénéneuse de Philippe Calvario

Par Vincent Bouquet

Au Théâtre 14, le metteur en scène livre une version cruelle et féroce du chef d’œuvre de Marivaux, sans toutefois éviter l’écueil d’une mise en scène un brin trop appuyée....

Lire l'article sur Sceneweb

Image de Histoire d'Ernesto

Paris Mômes

mercredi 26 novembre 2014

Une intéressante petite forme marionnettique

Par Maïa Bouteillet

En 1968, Marguerite Duras écrivait Ah ! Ernesto, conte pour enfant qui narre le parcours extraordinaire d’un enfant prodige, fils d’une famille pauvre et analphabète et qui pourtant accède à la connaissance de manière presque intuitive. « Je retournerai pas à l’école parce que, à l’école, on m’apprend des choses que je sais pas », déclare Ernesto, à la stupéfaction générale.

href="http://www.parismomes.fr/guide-des-sorties/8-28-903/spectacle/histoire-dernesto" target="__blank"> Lire l'article sur Paris Mômes

Image de Histoire d'Ernesto

Télérama

lundi 10 novembre 2014

On voit rarement des marionnettes dites de Kokoschka

Par Mathieu Braunstein

On voit rarement des marionnettes dites de Kokoschka, du nom du peintre autrichien (1886-1980). Ce procédé, qui consiste à poser une (vraie) tête d'acteur sur un corps minuscule dont les bras et les jambes paraissent ­animés d'une vie autonome, ouvre ­pourtant des perspectives irrésistibles. ­Sylvain Maurice l'utilise pour son adaptation de La Pluie d'été, de Marguerite Duras, roman tardif mettant en scène une famille nombreuse et dysfonctionnelle dans un pavillon de banlieue. Mais c'est aux seuls parents — la mère, qui épluche des pommes de terre toute la journée et oublie le prénom de ses enfants,

href="http://www.telerama.fr/art/histoire-d-ernesto,118954.php" target="__blank"> Lire l'article sur Télérama