M La Scène
vendredi 01 mars 2019
Par Marie-Laure Barbaud
Brigitte Jaques-Wajeman reprend "Mme Klein" au Théâtre des Abbesses, une tragédie feutrée où trois femmes psychanalystes règlent leur compte....
France
M La Scène
vendredi 01 mars 2019
Par Marie-Laure Barbaud
Brigitte Jaques-Wajeman reprend "Mme Klein" au Théâtre des Abbesses, une tragédie feutrée où trois femmes psychanalystes règlent leur compte....
La Gazette du Théâtre
mercredi 27 février 2019
Par Pascal Olivier
Brigitte Jacques-Wajeman, donne matière à voir, à ressentir, à penser. Non seulement la psychanalyse, mais surtout l’incarnation de la pratique dans des être de chair et de sang. Spectacle fascinant et monstrueux, comme pourrait être celui dévoilant la créature humaine sous le comédien. Envers possible de « Elvire Jouvet 40 » donc, de la même Brigitte Jacques-Wajeman. Ce faisant, elle nous met pour un moment en place d’analysant....
PublikArt - Webzine Culturel
samedi 14 octobre 2017
Un huit-clos sous haute tension emmené par trois comédiennes d’exception
Par Amaury Jacquet
La pièce convoque les liens sacrificiels mère/fille et décortique la parole psychanalytique pour un huit-clos passionnant....
Sceneweb
jeudi 05 octobre 2017
Madame Klein, psychanalyste sans cœur
Par Vincent Bouquet
Au Théâtre des Abbesses, Brigitte Jaques-Wajeman remet sur l’ouvrage le texte de Nicholas Wright qu’elle avait monté il y a plus de 25 ans. Avec peut-être moins de résonance aujourd’hui qu’hier....
A l'intérieur de la maison en verre
jeudi 18 février 2016
Par lamaisonenverre
Deux murs mobiles qui laissent entrevoir le fond de scène ou qui l'occultent, un lit, une grande peinture représentant un ciel entouré de gros nuages - comme le plafond d'une église baroque, mais sans angelots ni lumière divine. Le décor est sobre, mais sert superbement la mise en scène....
Télerama
jeudi 18 février 2016
Une tragédie sacrée au Théâtre des Abbesses
Par Fabienne Pascaud
Brigitte Jaques-Wajeman ressuscite la monumentale tragédie de Corneille. Et le résultat, servi par une troupe de jeunes et fervents comédiens, vaut le détour....
Coup de théâtre
vendredi 12 février 2016
Et Corneille convoqua Houellebecq
Par Judith Sibony
Il faut aller voir Polyeucte de Corneille au Théâtre des Abbesses (Paris 18eme), pour bien des raisons. Tout d’abord parce que la pièce parle du terrorisme religieux avec une acuité fascinante. Elle se passe au beau milieu du 3e siècle « après JC », et son héros est un seigneur arménien qui vient de se convertir secrètement au christianisme dans un monde encore gouverné par le polythéisme. Le matin où commence la tragédie de Corneille,...
Sceneweb
jeudi 11 février 2016
Un Polyeucte qui manque de fanatisme
Par Stéphane Capron
Brigitte Jaques-Wajeman continue à explorer les pièces de Corneille. L’intrigue de Polyeucte est d’actualité car elle parle de fanatisme religieux. Son travail sur la langue est toujours aussi précis, mais on s’est un peu ennuyé....
Télérama
jeudi 11 février 2016
Par Fabienne Pascaud
On ne voit plus si souvent la splendide tragédie de Corneille (1641), évoquant le sacrifice absolu et la folie extrême des premiers martyrs chrétiens dans l’Empire romain. Polyeucte est de ceux-là, qui ne songe qu’à briser temples et idoles, à rendre son épouse au premier homme qu’elle a aimé dans l’espoir d’une éternité rédemptrice et lumineuse. Que la parenté de ce mystique...
Webtheatre.fr
lundi 08 février 2016
Pulsion de vie, pulsion de mort
Par Corinne Denailles
Nous sommes en l’an 250 en Arménie, à l’époque de l’Empire romain représenté ici par le gouverneur Félix. Félix a une fille Pauline qui, soumise à la volonté de son père, a renoncé à l’amour de Sévère qui n’était pas d’un rang convenable. En bonne fille, elle épouse Polyeucte qu’elle finit par aimer d’un amour sincère même si elle n’oublie pas Sévère qu’on croit mort. Tout va bien donc jusqu’à ce qu’on apprenne que Polyeucte s’est laissé...