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Dernières critiques
Carnet d'Art
dimanche 10 septembre 2017
L’humanité dans une justesse saisissante.
Par Kristina D'Agostin
Né d’une rencontre avec une femme ménage ce que porte Mohamed El Khatib sur le plateau avec l’histoire de Moi, Corinne Dada est empli d’humanité. Teinté d’humour, ce spectacle impose pourtant une étonnante gravité et des émotions poignantes prises dans une justesse saisissante. À l’origine donc, une rencontre faite par hasard, celle de Mohamed El Khatib avec Corinne Dadat à Bourges en 2010....
L'Humanité
lundi 03 avril 2017
La femme de ménage et la Joconde
Par Marie-José Sirach
Moi, Corinne Dadat, de et mis en scène par Mohamed El Khatib, confronte le regard du spectateur au quotidien d’une femme de ménage. Édifiant... Corinne Dadat existe. Nous l’avons rencontrée. Sur un plateau de théâtre. 1,68 m pour 70 kg. Un physique « pas facile », dit-elle. Comme Gérard Depardieu, elle a « des problèmes de poids ». À 54 ans, Corinne Dadat est femme de ménage. À Bourges. Dans des entreprises et chez des particuliers. Une vie à récurer, frotter, balayer,...
Franceinfo
mardi 28 mars 2017
Corinne Dadat, une femme de ménage sur les planches du théâtre de la Colline
Par hierry Fiorile
Une femme de ménage sur une scène, mais pas pour y passer la serpillère : Moi, Corinne Dadat est un spectacle de Mohamed El Khatib, actuellement au théâtre de la Colline à Paris. Avec beaucoup d'humour, le metteur en scène-chorégraphe dirige cette femme de ménage rencontrée à Bourges. Depuis trois ans, ils ne se quittent plus....
Mediapart-Les dits du théâtre
samedi 25 mars 2017
« Moi, Corinne Dadat », l’art du ballet et le labeur du balai
Par Dashiell Donello
Mohamed El Kathib nous dit d’emblée que le nom de Dadat n’est pas une fiction. Corinne Dadat est bien une femme, de 54 ans d’un 1m 68, de 70 kg, avec 4 enfants, qui exerce la profession de femme de ménage, qui fume et qui n’a rien à voir avec le dadaïsme....
France Inter
vendredi 24 mars 2017
Quotidiens avec Mohamed El Khatib et Corinne Dadat
Par Laure Adler
C'est l'histoire d'une rencontre et d'une dame qui s'appelle Corinne Dadat, avec son aspirateur, ses produits, et sa blouse à carreaux. Elle n’a plus de rêve, mais un quotidien....
Sceneweb
jeudi 23 mars 2017
Moi, Corinne Dadat de Mohamed El Khatib
Par hristophe Candoni
Ancien étudiant en sociologie, Mohamed El Khatib, construit un théâtre du réel et dénué de théâtralité au point que ses spectacles se présentent parfois peu aimables et sans attrait. Dans une forme qu’on dirait presque improvisée, il s’adresse au public d’une manière simple, directe, frontale. Ses sujets sont des figures, des histoires appartenant à la vie du quotidien dont il atteste l’authenticité. Documents à l’appui, il se raconte avec un...
Radio Grenouille
vendredi 06 janvier 2017
Un jeu de regard de l’un sur l’autre
Par Emmanuel Moreira
Mohamed El Kathib donne l’espace du théâtre à Corinne Dada afin qu’elle n’y soit pas représenté mais qu’elle puisse s’y présenter ou décider elle-même de jouer avec sa propre image. La correspondance entre Mohamed El Kathib et Corinne Dada, leur dialogue est ici un jeu de regard de l’un sur l’autre qui nous est donné....
France Culture
mardi 29 novembre 2016
Sortir de la nuit avec elle, Corinne Dadat
Par Emilie Chaudet
Où il sera question de bonjours en lettres mortes, de crises inoffensives, du corps de Frida Khalo, d'alpinisme musical et photographique, d'illusion de la démocratie, d'une certaine idée de la fidélité....
Attractions Visuelles
lundi 28 novembre 2016
Par Karminhaka
On le sait depuis "Finir en beauté", qui l'a fait connaître, Mohamed El Khatib a l'art d'aborder des sujets avec malice. Car il fallait en avoir pour aborder sur scène l'un des thèmes les plus douloureux qui soient (la mort de sa mère) sans recourir à une quelconque dramatisation larmoyante. Une malice conçue comme un pied de nez souriant à toute dimension tragique....
Club de Mediapart
lundi 28 novembre 2016
De la négation du travail d’acteur, études de cas : les taupes, la femme de ménage
Par Jean-Pierre Thibaudat
On peut se passer du travail de l’acteur de bien des façons. La plus honnête consiste à ce qu’il n’y en ait aucun sur scène comme cela arrive parfois. De façon plus perverse, on peut le biffer en le faisant disparaître sous un constant déguisement (« La Nuit des taupes » par Philippe Quesne) ou le nier en exhibant le réel comme un spécimen (« Moi, Corinne Dadat » par Mohamed El Khatib)....